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Vous êtes vous déjà demandé qui vous êtes réellement ?
Nous ne parlons pas ici de vos identités sociales. Car vous pouvez être un ami, un frère ou une sœur, un amant, une épouse, un père/ une mère, en même temps. Mais cela ne représente que des facettes de vous même. Ces facettes ne sont pas votre Être intérieur.
Connaître son Être intérieur c’est connaître votre but, vos valeurs, votre vision des choses, vos objectifs, vos motivations et vos croyances. Ce n’est pas ce qui vous a été raconté par les autres mais ce que vous découvrez par vous même à votre sujet. Connaître votre Moi requiert un haut niveau d’introspection.
Si vous avez une vision claire d’au moins la moitié de ce qui est listé ci-dessus, vous avez déjà une grande connaissance de vous même. Mais il faut noter que le processus de découverte du Moi ne finit jamais. C’est un processus qui dure toute la vie.
Vous êtes plus que vos identités
Essayer de découvrir votre Être intérieur peut s’avérer difficile. Dans la vie vous avez plusieurs identités. On pourrait aussi dire “casquettes”.
Chacune d’elle a son propre lot de valeurs et d’attentes qui sont socialement définies. Elles ne correspondent pas nécessairement à votre Être intérieur.
Prenons l’exemple suivant. Imaginons que vous êtes l’employé d’une compagnie de transport. En tant qu’employé, votre mission doit correspondre à la mission de votre compagnie qui est par de faciliter la vie de ses clients avec des offres de transports adaptées. Votre objectif est aussi aligné sur celui de la compagnie et cela peut par exemple être d’augmenter les ventes de 20% sur l’année et de développer sa présence au niveau régional.
Mais en tant que personne, vous avez probablement d’autres objectifs qui ne correspondent pas à ceux de votre entreprise. Vous adorez peut être la natation. Votre rêve est peut être de devenir champion de natation et de faire de la compétition à un niveau international. Ceci est très différent de ce que l’on attend de vous en tant qu’employé d’une société de transport.
Ceci s’applique aussi à vos autres identités. Pour chacune d’elles on attend de vous certaines croyances, certaines valeurs, certains objectifs qui ne correspondent pas exactement aux croyances, valeurs et objectifs de votre Être intérieur.
Parce que nous sommes tous uniques, votre Moi ne peut pas être classé sous une identité prédéfinie. Je suis le fils de mes parents, l’élève de mon professeur, le père de mon fils, la sœur de mon frère, l’oncle de ma nièce, l’entraîneur de mon club, mais je suis plus que tout cela.
Ces noms sont seulement des rôles et des titres. Aucun de ces rôles ne me définit précisément et définitivement. Le Moi est quelque chose qui ne peut être défini par aucun label ou titre.
Une bonne analogie au Moi est la fleur de tournesol. Le Moi est la tête de la fleur (le centre auquel sont rattachés les pétales). Vos différents rôles et identité sont les pétales autour de votre Moi.
Les pétales sont des extensions de la tête de la fleur, ils ne sont pas la tête. Pareillement, vos identités et vos rôles sont des extensions de votre Moi mais ne sont pas votre Moi.
Importance de découvrir son Être intérieur
Si vous n’avez jamais réfléchi à qui vous êtes vraiment à l’intérieur, il est très probable que vous vous identifiiez à vos identités. La plupart des gens s’identifient à leur rôle, par exemple mari, ami, employé etc.
De nombreuses personnes passent toute leur vie en se construisant autour de l’une de ces identités. Enlevez leur cette identité et elles sont perdues. Ceci est dû au fait qu’elles n’ont aucune idée de qui elles sont réellement. Elles ne sont pas capables d’exister au delà de cette identité qui vient de leur être retirée.
Prenons l’exemple de quelqu’un qui s’identifie uniquement comme fils. Il conçoit toute son existence autour de ce rôle. Il agira en accord avec ce qui est le mieux pour ses parents. Il passera beaucoup de temps avec eux, aura de nombreuses activités avec eux. Il abandonnera aussi certains projets si besoin, afin de rendre ses parents heureux.
Quand vient le moment de prendre des décisions importantes, pour sa carrière ou le choix de sa partenaire, il s’assure d’avoir l’accord de ses parents. Ses parents sont le point central autour duquel sa vie gravite.
Son Moi est pourtant plus qu’être un fils pour ses parents. Lorsque ces derniers ne seront plus de ce monde, cette personne perdra le sens de sa vie et se retrouvera complètement perdue. Le point central autour duquel toute sa vie est organisée aura disparu.
Ce rôle de fils est comparable à la tête de la fleur. Et tous les pétales qui y sont rattachés s’envolent lorsque la tête disparaît. Quand vous vous identifiez trop à une de vos identités, vous courrez le risque de vivre une crise lorsque celle ci disparaît.
Il est donc important de savoir qui nous sommes réellement. Et ceci n’empêche pas de jouer consciencieusement chacun des différents rôles qui se rattachent au Moi. On peut être ainsi un très bon fils, ou père ou professeur etc. sans pour autant s’identifier à une de ces identités.
Il est donc particulièrement important de trouver son Être intérieur. Cela aide à développer une paix intérieure. Vous êtes le propriétaire de votre vie. Mais si vous n’êtes pas connecté avec votre Moi vous la vivez certainement pour les autres.
Vous poursuivez les objectifs et les attentes des autres plutôt que ce que vous désirez réellement. Connaître son Moi est le premier pas pour vivre votre vie pleinement en suivant vos objectifs et vos valeurs.
La connaissance du Moi vient de la conscience de soi
Même si vous n’avez pas une image claire de qui vous êtes réellement, certaines facettes de votre Moi apparaissent certainement dans vos actions de tous les jours. Si par exemple vous ressentez toujours le besoin d’être présent pour vos amis, la fidélité est sans aucun doute une des valeurs de votre Moi.
Ne vous inquiétez pas si vous ne connaissez pas encore votre Moi. La découverte de celui ci prend souvent toute une vie. Et ce processus de découverte est ralenti par les règles de la société dans laquelle nous vivons.
En société on est obligés de suivre les règles. Ce faisant, nous rentrons dans un moule qui ne correspond pas à notre Moi. Et nous finissons souvent par prendre la forme de ce moule jusqu’à ne plus avoir conscience de qui nous sommes vraiment.
De nos jours entre le métro, le boulot et le dodo, nous sommes constamment bombardés de publicités. Les médias et les réseaux sociaux nous dictent ce que nous devons penser, faire et aimer. Comment avoir, dans ces conditions, la moindre idée de ce qu’est réellement son Moi ? Nous avons tendance à devenir des robots et nous n’avons plus le temps de réfléchir à ce que sont nos réelles aspirations.
Il est important de prendre le temps de réfléchir à cette question. Il faut analyser de façon consciente nos actions et nos pensées quotidiennes. C’est très important quand on sait que 95% de notre journée se passe de façon quasi inconsciente. Essayez au moins quelques minutes par jour au début, d’être pleinement conscient de vos actions. Allongez ce temps de pleine conscience chaque jour un peu plus.
Nous sommes presque toujours en train de divaguer dans le passé ou dans le futur sans prêter attention à ce que nous faisons au moment présent. Nous agissons comme des zombis du matin au soir. La méditation est d’un grand secours pour éveiller cette conscience de soi.
Qu’est ce qu’il se cache sous vos identités ?
Vous pouvez essayer cette exercice simple pour découvrir votre Moi. Commencez par faire la liste de toutes les identités qui vous ont été assignées durant votre vie et retirez les. Pour ce faire arrêtez de penser à vous en tant que chacune des identités que vous avez mises dans la liste. Par exemple arrêtez de penser à vous en tant que frère, collègue, mari, etc. Pensez à vous en tant que vous.
Prenez un papier et un stylo et écrivez ce qui vous vient à l’esprit lorsque vous lisez les questions ci-dessous :
Quelle est le but de votre vie ? Que désirez vous accomplir durant celle ci ?
Comment vous voyez vous (indépendamment de toute autre personne) ? Quels sont vos objectifs pour les 3, 5 ou 10 prochaines années ?
Qu’est ce qui VOUS motive dans la vie ? Qu’est ce qui vous passionne ? Pourquoi êtes vous prêt à vous battre ?
Quelles sont vos valeurs ? Quelles qualités sont importantes à vos yeux ?
Quelles sont vos croyances au sujet du monde ?
Si c’est la première fois que vous réalisez cet exercice, vous risquez d’être un peu confu. Certaines de vos réponses peuvent venir d’une de vos identités. Ce n’est pas grave mais essayez d’identifier ces réponses et essayez ensuite de répondre en vous détachant de cette identité.
Ne vous inquiétez pas si vous finissez l’exercice avec une page blanche. Il y a quand même un Moi qui se cache en vous. Petit à petit vous arriverez à écrire des réponses.
Utilisez ces quelques conseils qui vous aideront à trouver votre Moi :
N’arrêtez jamais d’apprendre et de vous développer.
Sortez de votre zone de confort autant que possible en faisant des choses que vous n’avez pas l’habitude de faire.
Questionnez vous constamment.
Regardez au delà de ce que l’on vous montre et on vous enseigne.
Ecoutez vos tripes
En faisant ces exercices, vous déclenchez le processus qui vous mènera à la connaissance de votre Moi. Vous allez peu à peu prendre conscience de vos pensées et de vos actions. Et bientôt vous allez prendre conscience de ce Moi. Il va alors commencer à se distinguer peu peu de vos identités. Vous chercherez alors à essayer de le voir le plus clairement possible.
S’aligner avec son Être intérieur
Au fur et à mesure que vous découvrez votre Moi, vous réalisez peut être qu’une (ou des) de vos identités ne lui correspond pas. Ceci crée un conflit entre votre Moi et la personne que l’on veut que vous soyez. Ce n’est pas un problème et cela fait parti du processus de découverte du Moi.
L’étape d’après consiste à aligner au mieux vos identités avec votre Moi. Analysez les valeurs communes entre l’identité (ou les identités) qui pose problème et votre Moi. Modifiez autant que possible cette identité pour la rapprocher le plus possible de votre vrai vous.
Si cela s’avère impossible vous devrez finir par vous débarrasser de cette identité. Vous devrez alors faire des projets à long terme pour pouvoir un jour vous libérer complètement de celle ci.
Chacune de vos actions doit vous rapprocher de votre Moi. Ne perdez pas espoir et soyez patient. C’est un processus de développement personnel qui est long. Il est important de ne pas se décourager. N’essayez pas non plus de trop en faire d’un coup.
Comment Trouver Votre Être Intérieur ?
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“Soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris.” – Anonyme.
Avez-vous déjà pensé à qui vous êtes ? Et ce que cela signifie ?
Je ne parle pas de votre rôle, ou identités sociales. Vous pouvez être un(e) ami(e), un frère/une sœur, un employé(e), un fils/une fille, un mari/une femme, un père/une mère, etc. Parfois tout cela en même temps, mais ce ne sont qu’un aspect de vous-même. Ils ne représentent pas ce que vous êtes fondamentalement à l’intérieur. Votre Être est qui vous êtes vraiment à l’intérieur.
Pour connaître votre Être Intérieur il faut que vous connaissiez votre but, vos valeurs, vos motivations, vos buts et vos croyances. Pas ce qui vous a été dit par les autres, mais ce que vous avez découvert par vous-même. Connaître votre Être Intérieur nécessite un assez haut niveau d’introspection et de conscience.
Si vous êtes clairement conscient(e) d’au moins la moitié de ce qui est cité plus haut, vous avez probablement un haut niveau de conscience. En même temps, le chemin de la découverte n’a pas de fin – c’est le voyage d’une vie.
Vous êtes bien plus que vos identités
Tenter de découvrir votre Être Intérieur peut être ardu. Vous portez de multiples identités dans votre vie. Chacune a socialement son propre lot de valeurs, visions, et attentes définies. Malgré tout, celles-ci peuvent ne pas se conformer à ce que l’image que vous avez de vous-même.
Par exemple, imaginons que vous soyez un(e) employé(e) d’une entreprise automobile, En tant qu’employé, votre mission devrait suivre la mission de l’entreprise, quelle qu’elle soit.
Cependant, vous en tant que personne, avez d’autres rêves et objectifs qui sont différents de ceux de votre employeur. Peut-être que vous aimez vraiment le volley-ball et que c’est votre passion. Votre vision idéale c’est d’être un célèbre joueur de volley-ball puis de devenir ensuite un coach en volley-ball, entraînant des équipes nationales.
Celle-ci est clairement différente de la vision de l’entreprise qui n’attend de vous que votre rôle de simple employé. De la même façon, cela s’applique aussi à vos autres identités. Pour chaque identité, vous avez un lot de buts / valeurs / visions / motivations / objectifs / croyances qui ne sont pas entièrement les mêmes que votre Être Intérieur.
Parce que tout le monde est unique, votre véritable Être ne peut être limité à une seule identité ou étiquette. Aucun de ces rôles en eux-mêmes ne décrivent précisément qui vous êtes.
Une bonne analogie serait une fleur. Votre Être Intérieur est comme le capitule d’une fleur (la partie centrale où les pétales sont rattachées). Vos identités sont un peu comme les pétales autour de votre Être Intérieur.
Alors que les pétales sont des extensions de la tête, ils ne sont pas la tête. De même, vos identités sont des extensions de vous-même, mais ils ne représentent pas qui vous êtes entièrement.
L’importance de renouer avec votre Être Intérieur
Si vous n’avez jamais vraiment réfléchi à votre Être Intérieur, c’est probablement parce que vous vous êtes défini à travers vos identités. Il est fréquent de se voir dans un certain rôle, comme celui d’un ami, un employé, un fils/une fille, etc. Certains passent leur vie à se construire eux-mêmes de telles identités.
Si on les leur retire, ils se retrouvent complètement perdus, parce qu’ils n’ont que très peu conscience de qui ils sont à l’intérieur. Ces personnes ne sont pas capables d’articuler leurs propres visions, buts et rêves au-delà de ce qu’il leur a été imposé via leurs identités.
Par exemple, quelqu’un qui s’est attaché à son identité de fils vivra toute son existence comme un fils. Il agira conformément à ce qu’il y a de mieux pour ses parents. Il passera beaucoup de temps avec ses parents, fera des choses pour ses parents, négligeant tout autre chose dans sa vie s’il doit les rendre heureux.
Et lorsqu’il doit prendre d’importantes décisions, telles que le choix d’une carrière ou d’un mari/une femme, il doit s’assurer d’avoir l’accord de ses parents avant d’agir. Ses parents sont au centre de sa vie.
Cependant, son Être Intérieur est bien plus grand que sa seule identité de fils de ses parents. Si ses parents disparaissaient de sa vie, il serait complètement perdu. Sa vie basculerait et partirait à la dérive puisque l’ancre qu’il s’est construite toute sa vie n’existerait plus.
C’est comme si le capitule d’un tournesol disparaissait, toutes les pétales s’éparpilleraient au gré du vent puisqu’il n’y a plus rien pour les maintenir ensemble. Lorsque vous êtes trop attaché à l’une de vos identités, vous courrez le risque d’avoir une crise d’identité lorsque celle-ci disparaît.
C’est pourquoi il est important de trouver votre Être Intérieur. Vous êtes propriétaire de votre vie et vous vivez votre vie pour vous-même. Cette vie est définie par vous, et non pas par vos rôles ou identités. Si vous n’êtes pas connecté à qui vous êtes véritablement, vous vivrez une vie dictée par les autres. Poursuivant les buts des autres, vivant à la hauteur de leurs attentes et projections, plutôt que de vivre comme vous le souhaitez vraiment.
Connaître votre Être Intérieur est la première étape pour vivre une vie en toute conscience et selon vos désirs et décisions.
De la connaissance de votre Être Intérieur provient la Conscience de Soi
Si vous n’avez pas une vision claire sur ce qu’est votre Être Intérieur, il est quand même probable que certains aspects de votre Être Intérieur soient déjà apparents dans votre vie quotidienne, selon la façon dont vous gérez vos identités.
Par exemple, si vous vous vantez souvent d’être responsable envers vos parents, la responsabilité est probablement l’une de vos valeurs intérieures. Si vous vous sentez un besoin impérieux d’être toujours là pour vos amis, la fiabilité est sûrement une valeur importante pour vous.
Il est parfaitement normal de ne pas connaître son Être Intérieur. Le découvrir et l’élucider est l’affaire d’une vie. Par exemple, lorsque j’avais 10 ans je n’avais pas autant conscience de moi que maintenant. Lorsque j’étais en primaire et au collège, je ne savais pas qui j’étais ni ce que je serais. Je pense que n’importe qui à cet âge est dans ce même cas. Tout le monde à cet âge ne faisait que ce qu’on lui disait de faire, que ce soit les parents, l’école, la société..
À cet âge il était difficile de faire preuve d’introspection, ni même de conscience de soi. C’était le brouillard total. Alors que nous commencions à construire nos propres personnalités, elles n’étaient au mieux qu’un amas de désirs et de rêves.
La raison principale pour laquelle nous avions une conscience de soi aussi faible à ce moment-là, est due au fait que la conformité est très appréciée dans les écoles (voire même dans la société d’ailleurs). Être critique ou avoir une opinion est considéré comme un acte de rébellion.
Nos tâches étaient généralement de traiter et d’exécuter des instructions, et non à remettre en question ou choisir. Si vous aviez des pensées différentes, vous étiez généralement mal vu et remis vertement sur le droit chemin.
C’est pourquoi nous ne pensions jamais vraiment comme nous le voulions. Nous étions plus des robots qui appliquaient bêtement ce qu’on leur apprenait, ou plutôt des somnambules comme j’y fais souvent référence ici.
Lors que je suis entré au lycée et d’autant plus à l’université, ma conscience de soi a grandi. Cela est venu grâce à la liberté croissante dont on disposait, comme par exemple choisir certains cours ou cursus.
Cela me poussait alors à prendre des décisions et donc déclenchait une plus intense réflexion vis à vis de ce que je voulais faire sur le moment et pour l’avenir. Bien sûr, beaucoup d’activités que je faisais à côté m’ont aidé à me développer de différentes façons – par exemple l’une de mes passions est le web design, j’étais déjà le webmestre d’un certain nombre de sites avant celui-ci. Je prenais aussi part à diverses activités extra-scolaires, etc.
Ces dernières années j’ai pu trouver ma vocation et appris ainsi à mieux me connaître. Chaque jour est une occasion d’apprendre qui je suis et où je vais. Plus j’en découvre sur moi-même, et plus je suis capable de vivre de manière consciente.
Qui se cache vraiment derrière vos identités ?
Faisons un exercice pour découvrir votre Être intérieur.
Commencez par enlever mentalement toutes ces différentes identités que vous avez accumulées depuis le début de votre vie. Cela signifie d’arrêter de vous considérer comme un frère, un collègue, ami, ou quelle que soit l’identité avec laquelle vous avez l’habitude de vous associer. Pensez juste à être vous-même.
À l’aide d’un papier et d’un stylo, écrivez tout ce qui vous vient à l’esprit lorsque vous lisez les questions ci-dessous:
Quel est mon but dans la vie ? Quel but je pense que la vie doit avoir ?
Quelles sont mes perspectives d’avenir pour moi-même, indépendamment de toute autre personne ?
Quels objectifs et rêves ai-je pour moi-même pour l’année, les 3 ans, 5 ans ou même 10 ans à venir ?
Quels sont MES motivations dans la vie ? Qu’est-ce qui me pousse à avancer, jour après jour ? Pour quoi je me bats jour après jour ? Qu’est-ce qui me passionne ?
Quelles sont mes valeurs ? Quelles sont les qualités qui sont importantes pour moi ?
Quelles sont mes croyances vis-à-vis du monde qui m’entoure ? Quels sont mes points de vue sur le monde ?
Si c’est la première fois que vous faites un tel exercice, vous allez probablement trouver cela difficile. Certaines de vos réponses peuvent provenir de vos identités sociales.
Si vous êtes par exemple très centré sur la famille, vous pouvez constater que vos réponses sont complètement centrées sur le fait de prendre soin de votre famille. Ça ne pose aucun problème d’avoir de telles réponses, mais ça ne devrait pas être la seule chose évoquée.
Commencez par penser au-delà de votre famille. Quelles sont vos perspectives pour vous-même, en dehors de votre famille ? Quelles sont vos motivations personnelles dans la vie ?
Ne vous inquiétez pas si vous avez du mal à trouver des choses. Même si vous avez l’impression d’écrire sur une page blanche, il y a un véritable VOUS qui sommeille derrière toutes ces identités sociales, attendant d’être découvert.
Voici quelques étapes qui me semblent très utiles pour découvrir cet Être Intérieur :
Apprendre et évoluer constamment, dans tous les domaines.
Me plonger dans de nouvelles situations, et sortir de ma zone de confort pour en apprendre plus sur moi.
S’introspecter constamment.
Chercher au-delà de ce que l’on me propose ou me dit, pour découvrir ce que je veux vraiment pour moi.
Ecouter mon instinct lorsqu’il s’exprime.
En faisant cet exercice, vous avez déjà déclenché le processus de recherche. Peu importe à quel point votre Être Intérieur est profondément enraciné en vous à l’heure actuelle, cette recherche s’étendra, lentement mais sûrement, pour remuer les profondeurs de votre âme.
Vous allez commencer à devenir plus conscient de vos pensées et actions. Bientôt, vous serez à même de vous faire une impression de qui vous êtes vraiment à l’intérieur. Finalement vous arriverez au stade où vous saurez clairement qui vous êtes en tant que personne.
Au fur et à mesure que vous découvrez votre Être Intérieur, vous trouverez probablement que vos identités ne collent pas avec votre Être Intérieur. Il y a un conflit entre qui vous êtes vraiment, et les attentes que l’on pose sur vos épaules. Si c’est le cas, tout va bien. C’est la première étape pour découvrir qui vous êtes.
La prochaine étape est de vivre en alignement avec votre Être Intérieur, du mieux que vous le pouvez, selon la situation. En même temps, commencez à réaliser des plans à long terme pour vivre complètement aligné avec votre Être Intérieur.
Par exemple, quelqu’un qui travaillerait en tant qu’employé d’un service marketing de produits de beauté, signifie qu’il doit être doué pour créer des stratégies marketing nouvelles pour pousser les consommateurs à acheter. Mais comme, selon moi, l’industrie de la beauté agit sur un très bas niveau de conscience (au niveau du désir, la peur de ne pas être attirant(e)), cette identité n’est donc pas alignée avec l’Être Intérieur (haut niveau de conscience) en chacun de nous.
Il y a clairement un conflit entre le rôle d’employé et l’Être Intérieur. On peut bien sûr, se rendormir et faire comme si cette gêne n’existait pas ou bien choisir une autre voie.
Bien entendu, démissionner n’est parfois pas une option. Ainsi, le mieux que la personne puisse faire c’est d’essayer de vivre aussi aligné que possible avec son Être Intérieur, et planifier à long terme une manière de poursuivre ce qui la passionne.
Bien qu’il soit difficile de changer la nature du travail réalisé, cette personne pourrait – par exemple – établir de solides relations avec ses collègues. Cela permettrait à eux aussi d’élever leur conscience, en discutant de ce qui les passionne, jusqu’à ce qu’une opportunité apparaisse et lui permette de changer de travail pour poursuivre ses rêves.
Chaque action que vous faites devrait être en accord avec votre Être Intérieur. S’il y a des identités qui ne s’adaptent pas avec la représentation de votre Être Intérieur, il y a deux options qui s’offrent à vous.
Premièrement, essayez de trouver un point commun entre ces identités et votre Être Intérieur. Cela peut impliquer de modifier ces identités pour mieux s’accorder avec qui vous êtes véritablement. De dire “je ne suis pas un employé de X, je suis employé par X pour telle et telle tâche.” Ce simple changement de termes est important, vous n’êtes plus une possession de l’entreprise mais vous dispensez des services à cette entreprise.
Si cela ne fonctionne pas du tout, l’autre (plus drastique) option serait de de supprimer ou de changer complètement l’identité. C’est-à-dire, par exemple de quitter l’identité d’employé pour se mettre à son compte, ou bien couper toute relation avec vos amis qui vous tirent vers le bas.
Tout cela vous permettra de grandir en tant que personne, et devenir plus accompli dans votre vie. Toutes vos identités doivent graviter autour de votre Être Intérieur et être alignée dessus. Et cela ne peut se produire qu’à travers un effort conscient, en modifiant peu à peu vos identités jusqu’à former un tout cohérent.
Concentrez-vous sur la recherche de votre Être Intérieur, puis vivez progressivement en alignement avec celui-ci. C’est ainsi que vous commencerez à vivre une vie enrichissante et consciente !
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Comment Trouver Son Identité Profonde ?
Comment trouver son identité profonde ?
Qui suis-je au plus profond ? Quelle est ma personnalité authentique, la vocation qu’il me faut déployer en ce monde ? Un ouvrage passionnant se met en quête de notre “moi profond” en suivant les traces de grands penseurs et de mystiques.
En tout cas pour Jean-Paul Lannegrace, auteur de “
Et l’auteur de citer le grand poète persan Rûmi, adepte du soufisme : “Il y a une bougie dans ton coeur, Prête à être allumée Il y a un vide dans ton âme, Prêt à être comblé Tu le sens, n’est-ce pas ?”.
Si le “moi profond” était un lieu, ce pourrait être un puits, image de profondeur obscure où il faut descendre pour trouver l’eau vive. A moins qu’on ne le compare à un roc fondateur, solide soubassement de tout notre être. Ou encore au mystère qui émane de certains chúng tôi tout cas pour Jean-Paul Lannegrace, auteur de ” Trouver son identité profonde ” (éd. Salvator), il y a bien en chaque être un centre authentique, coeur de la personne, un “moi profond” à faire émerger, comme un diamant à faire resplendir. C’est bien cette identité profonde – souvent ignorée ou négligée – qui provoquerait en nous tant d’états d’âme. Impression de ne pas “être à sa place”. De ne pas vivre sa vie. Soif d’un ailleurs ou d’un “autre chose”.Et l’auteur de citer le grand poète persan Rûmi, adepte du soufisme :”Il y a une bougie dans ton coeur,Prête à être alluméeIl y a un vide dans ton âme,Prêt à être combléTu le sens, n’est-ce pas ?”.
Une personne humaine qui est à la fois corps, coeur et âme
C’est un des charmes de cet ouvrage ancré dans la philosophie d’éclairer son propos de très belles citations empruntées aux poètes ou à de grands maîtres de la spiritualité. Leur point commun ? Tous ont une conception de l’homme ouverte à la transcendance.
Dès l’introduction, Jean-Paul Lannegrace affiche son postulat métaphysique, sa vision philosophique : l’homme n’est, selon lui, pas limité à son corps et à son psychisme, mais il a aussi une âme qui lui permet d’accéder au monde spirituel. Il est une “personne” unique – en référence à la philosophie “personnaliste” – composée d’un corps, d’un psychisme et d’une âme, trois réalités d’ordre différent mais interconnectées pour former l’unité de la personne.
Alors, ce “moi profond”, quel est-il et où se situe-t-il ? Il est bien une manifestation de l’âme mais il s’exprime aussi dans le psychisme, la vie affective, la volonté, la liberté… et peut même affleurer dans les gestes et les expressions de la personne. Ce “moi profond” dit notre unicité dans la diversité des zones de notre être. Il est un appel permanent au recentrement, au ressourcement, à l’unification.
Comment se manifeste notre “moi profond” ?
Avançons dans la quête philosophique de Jean-Paul Lannegrace. Notre “moi profond”, nous explique-t-il, est à la fois “le foyer de l’authenticité, l’initiateur de notre vocation personnelle“, cette “personnalité” que nous cherchons à exprimer. “Il est la source de la dynamique de l’accomplissement de soi et du dépassement de soi pour “la tâche de la vie””.
Mais il est aussi “le centre du coeur“, c’est-à-dire le lieu des sentiments les plus profonds et des attachements, d’abord aux êtres mais aussi aux choses et aux idées. En lui réside donc la source des choix importants, “la source du courage de faire face”, dit Jean-Paul Lannegrace. “Le moi profond fonde notre dignité et notre liberté par rapport au monde”.
Enfin, le “moi profond” est le lieu secret de la présence cachée de la divinité, lieu où Dieu transmet sa vie, sa joie, sa paix et où l’homme peut se mettre à son écoute, par exemple en faisant l’expérience de la prière.
Se trouver dans la rencontre de l’autre
Sans doute vous attendez-vous à recevoir de précieux conseils de méditation ou de développement personnel… Mais pas vraiment. Car pour la philosophie personnaliste, la personne n’est pas limitée à son “ego”. Certes, chacun de nous se perçoit séparé des autres, dans une apparente solitude. Mais si “l’ego est nécessaire, il n’est pas suffisant pour vivre”, cite Jean-Paul Lannegrace. Un peu plus loin, il va même jusqu’à dire : “l’ego et le moi profond s’excluent l’un l’autre”.
C’est que la personne est à la fois séparée d’avec autrui mais aussi “relation”. Elle est “dialogale”, selon l’expression du philosophe Paul Ricoeur : elle se construit et se reçoit dans le dialogue avec autrui. Comme le petit enfant qui accède à la conscience de soi dans le regard et les bras de sa mère, nous nous recevons mutuellement les uns les autres.
“La personne, écrit Jean-Paul Lannegrace, se développe toujours par des relations, qu’elle soient relations au monde, aux autres, à Dieu ou à soi-même, et ces relations sont interdépendantes.”
Du désir d’être soi au désir d’être plus au monde
Parfois, nos désirs d’authenticité se réveillent. Vous cherchez votre identité profonde ? votre vraie vocation ? Relisez votre histoire et vos expériences à la lumière de votre relation aux autres et au monde. Ne portez-vous pas d’ailleurs le désir d’être utile à la société et de donner ainsi un sens à votre vie ?
“Ne plus me demander ce que j’attends de la vie, mais ce que la vie attend de moi.”
“La recherche de sa vocation lie le désir d’être soi-même à celui de trouver sa place, son utilité pour la société. Le désir de vivre une vie qui soit plus “la sienne” se confond avec le désir d’être plus au monde, le désir d’incarnation” (Trouver son identité profonde, p. 39).
Au final, “le sens de notre vie est dans sa fécondité pour les autres“, affirme l’auteur qui illustre son propos par l’expérience du psychiatre
Dès lors, l’auteur nous met en garde contre l’individualisme contemporain qui flatte l’ego et conduit à la “centration sur soi”. Gare aussi aux “identités illusoires” que nous nous donnons ! Sur l’écran de notre vie, elles projettent des “images de soi” qui alimentent le narcissisme – l’amour de soi – mais nous laissent au final vides et insatisfaits.Parfois, nos désirs d’authenticité se réveillent. Vous cherchez votre identité profonde ? votre vraie vocation ? Relisez votre histoire et vos expériences à la lumière de votre relation aux autres et au monde. Ne portez-vous pas d’ailleurs le désir d’être utile à la société et de donner ainsi un sens à votre vie ?. Le désir de vivre une vie qui soit plus “la sienne” se confond avec le désir d’être plus au monde, le désir d’incarnation” (Trouver son identité profonde, p. 39).Au final, “”, affirme l’auteur qui illustre son propos par l’expérience du psychiatre Viktor Frankl , déporté en camp de concentration. De retour des camps, Frankl prend cette décision : “Ne plus me demander ce que j’attends de la vie, mais ce que la vie attend de moi.”
Ecouter sa conscience pour trouver son “moi profond”
Autre piste pour trouver son identité profonde, écouter sa conscience. “Le sujet qui agit contre sa conscience morale s’exile de son moi profond”, écrit Jean-Paul Lannegrace. Pour lui, le “cri éthique” face au Mal sort du moi profond.
Vous avez des remords, vous n’êtes pas à l’aise face à certaines pratiques, vous étouffez sans cesse une petite voix qui vous dit de ne pas poursuivre… Et si vous écoutiez en vous ce gémissement, ce questionnement, même si cela fait mal, même si c’est inconfortable ? “Je portais le fardeau de mon âme ensanglantée”, livre saint Augustin dans ses Confessions.
En réalité, “cette voix de la conscience morale est triple, nous dit Jean-Paul Lannegrace : elle est irrécusablement et inséparablement ma voix et à ce titre émane du moi le plus authentique ; elle est impératif catégorique et à ce titre émane de Dieu ; enfin, elle défend à l’intérieur de moi le droit d’autrui, ce que permet l’ouverture à l’universel du moi profond”. Où l’on retrouve une personne autonome mais profondément reliée à Dieu et aux autres.
S’ouvrir à la présence de Dieu pour se trouver
Enfin, parce qu’il reçoit son être de Dieu, dans la philosophie défendue par l’auteur, l’homme se trouve réellement dans la rencontre de celui qui est son créateur. Jean-Paul Lannegrace laisse alors la parole à de nombreux mystiques – chrétiens car il est de religion chrétienne – mais aussi juifs ou parfois musulmans, qui livrent leur expérience.
Ainsi Etty Hillesum, jeune femme juive hollandaise morte en 1943 au camp de concentration d’Auschwitz, écrit dans son journal : “Un puits très profond est en moi. Et Dieu est dans ce puits. Parfois, j’arrive à le rejoindre, le plus souvent la pierre et le sable le recouvrent : alors Dieu est enterré. Il faut à nouveau le déterrer” (Journal, 97). Malgré les épreuves extérieures, elle trouve une paix surnaturelle dans cette intimité spirituelle et vit ses derniers jours dans l’attention continuelle aux autres.
Augustin (354-430), grand saint du christianisme antique, évoque sa conversion tardive en ces mots : “Tard je vous ai aimée, Beauté si ancienne et si nouvelle, tard je vous ai aimée. C’est que vous étiez au-dedans de moi, et moi, j’étais en dehors de moi (…) Vous étiez avec moi et je n’étais pas avec vous (…). Vous avez appelé, vous avez crié, et vous êtes venu à bout de ma surdité (…). Vous m’avez touché et je brûle du désir de votre paix”.
Ou s’ouvrir à l’infini de l’amour ?
Faut-il donc chercher à atteindre les sommets de la spiritualité pour trouver son identité profonde ? Oui et non. A ce stade de sa démonstration, Jean-Paul Lannegrace va rassurer tous ceux qui n’ont pas la foi, ou ne se sont pas encore questionnés.
D’abord, écrit-il “le miracle d’une conversion reste toujours possible : Dieu peut ressusciter des âmes mortes.” Ensuite, “réciproquement, le salut ne nécessite pas la rencontre de Dieu en cette vie.” Il fait référence à un célèbre passage de l’Evangile – le livre des chrétiens retraçant la vie de Jésus-Christ – dans lequel Jésus dit que ceux qui ont servi les pauvres sur cette terre l’ont servi sans le savoir et seront avec Lui dans son royaume (Mathieu 25).
Découvrir son “moi profond” n’est donc pas réservé aux croyants, mais il ressort du livre de Jean-Paul Lannegrace que chacun de nous est porteur d’une unicité ouverte sur l’infini, d’un moi créé par amour et donc appelé à s’épanouir dans le don et l’amour… “Le moi profond est infini par son ouverture illimitée à autrui, son inlassable dépassement de soi et son désir de Dieu”…
Les nombreuses démarches de connaissance de soi et de développement personnel – avec des coachs ou des conseillers d’orientation – sont selon lui légitimes mais doivent bien intégrer toutes les dimensions du moi profond : son accomplissement personnel, sa place dans la société et le sens de sa vie.
Il renvoie à ce sujet aux nombreux ouvrages du moine allemand Anselm Grün (
Le livre de Jean-Paul Lannegrace offre d’abord une réflexion philosophique et spirituelle sur l’existence du “moi profond”. Il laisse ouverte la question des chemins et des méthodes pour se mettre à l’écoute de soi-même.Les nombreuses démarches de connaissance de soi et de développement personnel – avec des coachs ou des conseillers d’orientation – sont selon lui légitimes mais doivent bien intégrer toutes les dimensions du moi profond : son accomplissement personnel, sa place dans la société et le sens de sa chúng tôi renvoie à ce sujet aux nombreux ouvrages du moine allemand Anselm Grün ( Accomplis ce pour quoi tu es fait , ou Ne rate pas ta vie ).
Ils ont dit :
Pour finir, nous vous livrons encore quelques-unes des belles citations de l’ouvrage sur la façon de trouver son identité profonde :
– “Je crois que l’on grandit aussi grâce au regard habité des autres posé sur soi. Certains de ces regards diffusent une clarté particulière, capable d’infuser en soi le désir intense d’être enveloppé par leur sérénité et leur paix intérieure. Michel Cool, écrivain né en 1956 (Conversion au silence. Itinéraire spirituel d’un journaliste, Salvator).
– ‘L’âme a deux yeux : l’un regarde dans le temps, l’autre est tourné vers l’éternité ; l’oeuvre de l’homme est de marcher les deux yeux ouverts, d’unir le temps et l’éternité”. Angelus Silesius (1624-1677), mystique allemand franciscain (Le pèlerin chérubinique, Cerf).
– “Au centre de son âme, l’homme passe par un seuil, là il ne subsiste dans son être que de ce qu’un Autre l’y précède”. Denis Vasse, jésuite et psychanalyste, né en 1934. (L’Autre du désir et le Dieu de la foi, Seuil).
Comment Trouver Son Moi Véritable ?
Un voyage pas comme les autres….Vous avez eu le déclic ? Des questionnements s’enchaînent en vous ? Vous ressentez le désir d’entrer en communication avec votre être intérieur ? L’appel de la connaissance véritable de SOI se manifeste, très souvent, par votre désir d’apprendre, de découvrir une autre dimension de vous-même.
En fait, vous apprenez à vous laisser guider par « votre Essence première », cette partie lumineuse qui ne demande qu’à se révéler à vous. Elle demande qu’à s’épanouir et, à s’exprimer… Ainsi, nous entrons donc en connexion avec elle et, nous expérimentons des situations qui transforment notre état intérieur provoquant en nous : la joie et un sentiment soudain de liberté.
Rappelez-vous la dernière fois que vous vous êtes dit : j’ai l’intuition que c’est ainsi que je dois agir! C’est ça que je dois faire ! Une petite voix vous disait : suis-ton intuition !
La rencontre avec notre partie lumineuse, puissante et grandiose provoque des sensations mentales et parfois corporelles qui agissent comme une source d’énergie et, fait grandir notre état vibratoire (à ce stade nous entrons dans une dynamique de psycho-énergétique). Pour une prise de conscience de ce nouvel état vibratoire, je vous invite à observer vos résistances, les jeux que votre ego vous impose et, surtout à cultiver véritablement la confiance, la confiance en soi. « La voie la plus sûre pour découvrir la vérité est de ne plus résister à ce qui se présente ». L’observation de nos sentiments, de nos émotions et, la pratique de plus en plus active de la méditation sont des clés efficaces qui vous feront expérimenter la découverte de votre véritable puissance. Vous découvrirez au fur et, à mesure qu’en réalité, que la spiritualité est ni plus ni moins qu’une fonction naturelle et vivante de l’être humain. C’est au travers de l’observation, l’exploration, l’expérience et l’écoute de nos ressentis que nous allons entrer dans le processus même du développement spirituel, la recherche du Moi, du SOI. La conscience et la responsabilité, qui nous incitent à reconnaitre nos forces, faiblesses et, limites; nous forcerons naturellement, avec confiance et détermination à accueillir la résurgence de nos vieilles émotions afin de dire définitivement « NON » à cette impression de vide qui nous fera sortir d’un passage déroutant. Nos pensées, nos corps (et, pourquoi pas nos âmes) vivront l’évolution de nos consciences dans la vérité et la liberté.
Je serai ravie d’y répondre !
Par Mâ KOUMANJI
email : contact@femmesaupluriel.comtél. : 06 05 79 36 62
Comment Guérir Son Enfant Intérieur ?
Qu’est-ce que l’enfant intérieur ? Les origines de l’enfant intérieur C’est quoi l’enfant intérieur ?
L’ enfant intérieur vit en nous tout au long de notre existence. C’est un savant mélange entre le souvenir de l’ enfant qu’on a été, de l’ enfant qu’on a rêvé d’être et des événements marquants de notre vie, comme nous l’explique la psychologue Elisa Vernet. Stefanie Stahl, auteure de Connaître, aimer et guérir son enfant intérieur , nous précise également que l’enfant intérieur est une métaphore correspondant aux parties inconscientes de notre personnalité qui s’est forgée dans notre enfance. C’est pourquoi, comme elle le souligne à juste titre, “il existe aussi bien des parties positives et heureuses que des parties négatives et tristes de l’enfant intérieur”. Enfin, j’aime bien la vision de Charles Whitfield. Pour lui, l’enfant intérieur (ou enfant en soi), c’est “cette entité vivante, énergique, créatrice et comblée qui vibre en chacun de nous, c’est à dire notre Moi véritable, celui ou celle que nous sommes vraiment.” C’est beau, non ?
Famille dysfonctionnelle ou pas, il n’y a pas de parents parfaits donc pas d’ enfance parfaite… Peut-être avez-vous souffert de l’une ou plusieurs des 5 blessures qui empêchent d’être soi-même dont parle Lise Bourbeau. Si l’ enfant en vous est blessé, cela peut provoquer chez vous un sentiment de vide, des dépendances (alcool, drogue, dépendance affective…), des comportements agressifs, des troubles narcissiques, un problème de confiance, entre autres. Le petit enfant meurtri qui vit en vous a besoin de soins, d’amour, de sécurité et de reconnaissance pour libérer votre Moi véritable et vous permettre de sortir du mode victime. Prendre soin de votre enfant blessé vous permet de modifier vos comportements et d’améliorer vos relations. Comme le dit Isabelle Filliozat : “Quand une personne n’a pas su ou pas pu exprimer une émotion, cet affect réprimé cherche une issue. Toute situation, toute personne, qui rappelle de près ou de loin cette émotion ou l’événement qui l’a suscitée, réveille le passé.” En gros, vous êtes une véritable bombe à retardement ! Sans parler des répercussions possibles des émotions refoulées sur votre corps… Procurez-vous le Grand dictionnaire des malaises et maladies de Jacques Martel, vous comprendrez mieux de quoi je parle. N’oubliez pas enfin qu’un enfant joyeux vit aussi en vous. En vous reconnectant à lui, vous renouez avec votre joie de vivre, votre créativité, votre curiosité, votre spontanéité, votre insouciance, votre authenticité… Aimer votre enfant intérieur, c’est vous aimer vous-même, vous accepter pleinement, mais aussi vous respecter.
3 idées pour vous connecter à votre enfant intérieur La méditation ou l’hypnose guidéeLes séances de méditation ou d’ hypnose guidée peuvent vous aider à entrer en contact avec votre enfant intérieur et à écouter ses souffrances intérieures. Vous en trouverez quantité en libre accès sur Youtube. Je vous laisse tester et voir celles qui vous conviennent le mieux. Les goûts et les couleurs… Personnellement, j’ai écouté plusieurs fois la méditation guidée Guérir son enfant intérieur que j’ai trouvée sur la chaîne Youtube de Noémie de Saint-Sernin, spécialiste des blessures du passé et coach en développement personnel. Elle m’a fait beaucoup pleurer la 1ère fois, mais je l’ai aussi beaucoup appréciée. Vous pouvez également télécharger gratuitement la méditation guidée La guérison de l’enfant intérieur sur le site d’ Isabelle Filliozat, spécialiste en parentalité positive dont je vous ai déjà parlé plusieurs fois sur le blog. Je vous invite enfin à relire mon article Se guérir des blessures du passé avec l’hypnose où j’avais testé en 2023 une séance d’hypnose guidée offerte par L’Académie Française de Formation (AFF).
La lettreDans Prendre soin de l’enfant intérieur, Thich Nhat Hanh suggère de vous remémorer des événements douloureux de votre enfance et de demander à l’ enfant en vous : “Qu’as-tu ressenti à ce moment-là ?” ou “Qu’attends-tu maintenant de l’adulte que tu es devenu ?”. Ecrivez ensuite tout ce qui se présente à vous sans réfléchir. Vous pouvez aussi lui demander pardon de l’avoir délaissé, lui dire que vous l’aimez et que dorénavant, vous serez là pour lui. Reconnaissez sa souffrance. Rassurez-le. Une fois terminée, lisez la lettre à haute voix et prêtez attention à ce que vous ressentez. Si besoin, pleurez avec votre enfant intérieur. Anne Cazaubon, dans la Chronique Antidote “Écrire une lettre à mon enfant intérieur” diffusée sur Europe 1 le 20 février 2023, propose quant à elle d’ écrire à vos parents. Une lettre qui commencera par ” ma chère maman et/ou mon cher papa “ où vous noterez des moments où vous ne vous êtes pas sentis écoutés ou soutenus. L’idée n’est pas de lire la lettre à vos parents ni de leur envoyer, mais de redonner le sourire à votre enfant intérieur blessé. L’adulte que vous êtes peut le protéger aujourd’hui et lui reconnaître son statut de victime. Vous pouvez brûler la lettre, la déchirer, la déposer sur une tombe ou l’enterrer.
Pour aller plus loinSi tu me lis Corinne, tu vois, j’ai suivi tes judicieux conseils. Oui, j’ai médité et écouté mon enfant blessée. Je croyais pourtant l’avoir suffisamment apaisée avec la thérapie que j’avais entrepris l’année de mes 30 ans, mais fin 2023, un événement a ravivé des traumatismes de mon enfance, en particulier les blessures d’ injustice et de trahison. Ma 1ère réaction a été de claquer les portes du passé et de les refermer à double tour. Trop de colère et de tristesse. Pour me protéger, je me suis coupée illico presto de ceux qui avaient ravivé ma souffrance. Stratégie de défense oblige. Mais la fuite n’a pas été suffisante. Je me suis traînée une énorme fatigue jusqu’à fin janvier 2023. J’avais bien compris que si je voulais m’en sortir, j’allais devoir à nouveau faire face à mes vieux démons. Et c’est à ce moment-là que l’Univers m’a fait un petit clin d’oeil en m’offrant sur un plateau le livre Prendre soin de l’enfant intérieur de Thich Nhat Hanh le 9 février dernier (juste au cas où, j’imagine…). Alors que nous passions le weekend chez l’une des tantes de mon compagnon, il était là, posé en évidence sur un meuble, juste à côté du lit. On aurait dit qu’il m’attendait…
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8 Solutions De Psys Pour Trouver Son Équilibre Intérieur
Ils sont psychiatres ou psychologues. Ils nous font part de leur expérience dans un ouvrage collectif, Les psys se confient. Pour vous aider à trouver l’équilibre intérieur.
” Parce que nos peurs sont universelles, nous pouvons aider en nous plaçant sur un registre de fraternité humaine “, souligne Christophe André. Il est rare que des thérapeutes livrent avec autant de sincérité leurs chemins existentiels.
1. “Quitter sa posture de jugement”
Le conseil du Dr Christophe André psychiatre et psychothérapeute, hôpital Sainte-Anne, Paris
” Mon équilibre repose sur trois axes principaux.
Le premier : accepter mes fragilités. Elles ne sont ni des anomalies ni des infériorités. J’ai reçu des choses formidables de mes parents, d’autres moins. Ce que je suis aujourd’hui, ce n’est pas leur faute, ce n’est pas la mienne ; j’ai un chemin à parcourir que je considère comme un chantier de restauration.
Le second, c’est le travail ! Ce chantier de ma construction est passionnant mais il demande beaucoup d’énergie. On renonce trop tôt, l’intention semble nous suffire. Pour changer, il faut s’entraîner, comme pour un sport.
Le dernier pilier, c’est la rencontre. Les autres me sont essentiels. À chaque fois que je rencontre quelqu’un, je regarde ce qu’il y a de beau et de fort chez lui et la manière dont je peux m’en inspirer. Pour cela, il faut quitter sa posture de jugement ou d’indifférence. On a tendance à osciller entre l’une et l’autre. On critique vite, cela nous rassure de voir les défauts. On néglige alors l’essentiel, l’ensemble d’une personne. Or elles sont très rares, ces personnes qui n’auraient rien à nous apprendre. On doit regarder les autres avec bienveillance et admiration en se demandant ce qu’ils peuvent nous enseigner. Cela change tout parce que cela rend la rencontre féconde. ”
2. “Ne pas avoir peur de tomber ”
Le conseil du Dr Fatma Bouvet de la Maisonneuve psychiatre, hôpital Sainte-Anne, Paris
” J’ai eu un parcours composé de ruptures. Rien de dramatique, car ces ruptures ont été souvent choisies, comme l’immigration ou le changement de métier. Mais à chaque fois, j’ai dû prendre des risques, surmonter des obstacles puis me relever. Je crois que la clé de mon équilibre tient au fait de ne pas avoir eu peur de tomber. Il y a toujours des leçons à tirer de nos difficultés.
Or dans nos sociétés de la perfection, il est très difficile de reconnaître qu’il peut nous arriver de faillir. Mais vouloir tout maîtriser, c’est épuisant et source de tellement de frustrations. On n’est jamais parfait. Le reconnaître, c’est avancer avec ses propres défauts.
Pour cela, il faut avoir l’audace de demander conseil. Et être très exigeant dans sa quête. Ces conseils ne nous conviennent pas ? On continue à en demander ailleurs. Nous avons besoin les uns des autres pour surmonter nos manques. Cette modestie nous place non pas en position de combat mais de construction de soi avec l’autre. Nous sommes là pour jouer un rôle particulier. Sans avoir peur des autres. ”
A lire : Enfants et parents en souffrance, éd. Odile Jacob, 22,90 €.
3. “Expérimenter et être à l’écoute de soi”
Le conseil de Sophie Cheval, psychologue clinicienne et psychothérapeute
” Identifier ce qui compte vraiment pour soi et le garder toujours à l’esprit permet d’avancer dans sa direction, de nourrir son projet de vie, quel que soit le contexte. C’est un peu comme en bateau : il faut définir son cap et le garder. Si la météo n’est pas bonne, on retrouvera son chemin. Et pour connaître sa direction, il faut expérimenter et être à l’écoute de soi.
A lire : Belle autrement ! En finir avec la tyrannie de l’apparence, éd. Armand Colin, 15 €.
4. “Être conscient de ce qu’on vit”
Le conseil du Dr Nicolas Duchesne psychiatre et psychothérapeute, enseignant, attaché des hôpitaux de Montpellier
” Il faut garder autour de soi une forme de spiritualité. Dans chacun de nos interlocuteurs, il y a une étincelle magique. De l’éprouver m’aide beaucoup. Les difficultés que nous rencontrons sont l’occasion de réaliser que la vie ne se plie pas toujours à nos désirs immédiats, et que nous devons développer par nous-mêmes des chemins de réussite. Nous devons être pleinement conscients de ce qu’on vit. Tout alors est plus “goûteux”.
Pour cela, on doit ralentir, ne pas tout faire en même temps, s’offrir des temps d’arrêt. Trois fois par jour, on peut s’installer confortablement et on se demande quelles émotions, positives ou négatives, on ressent à ce moment-là. On se recentre sur sa respiration. Cela ne dure pas plus de 3 minutes. Mais c’est une manière toute simple d’être plus présent à soi. ”
A lire : L’affirmation de soi par le jeu de rôle en thérapie comportementale et cognitive, éd. Dunod, 24 €.
5. “Reconnaître ses contradictions”
Le conseil du Dr Frédéric Fanget, psychiatre et psychothérapeute, enseignant à l’université Lyon-I
” Me comprendre et comprendre mes contradictions, comme une médaille à deux faces, m’a été essentiel pour trouver l’équilibre.
Pour cela, on peut partir d’une situation donnée qui provoque chez nous un petit malaise. On prend le temps de l’analyser objectivement : qu’est-ce que je ressens ? Et on se demande ce que cela permet de comprendre de soi. On doit pouvoir observer les ressources qu’on mobilise et les freins qui sont les nôtres.
C’est une auto-analyse, mais en aucun cas une interprétation ni un jugement. C’est une manière de donner du sens à nos comportements pour trouver des solutions, pas pour se flageller. L’idée est de mieux reconnaître nos ressources puisqu’elles vont de pair avec nos faiblesses. ”
A lire : Je me libère, éd. Odile Jacob, 19,90 €.
6. “Savoir s’interroger, se remettre en cause”
Le conseil du Dr Bernard Geberowicz médecin psychiatre, ancien psychiatre des hôpitaux
” L’équilibre ne peut pas reposer sur une seule clé parce qu’en réalité, c’est une interrogation constante. On doit s’interroger sans cesse sur les interactions que peuvent avoir sur nous nos relations avec les autres. Il s’agit de toujours chercher une autre description aux choses, de ne pas rester sur une seule idée qui expliquerait tout. L’équilibre, c’est être plurifactoriel.
Pour cela, on doit se demander quelles pourraient être les causes qui nous ont amenés à rencontrer une difficulté. On a toujours tendance à se contenter d’une causalité extérieure. En général, cette causalité, ce sont les autres. C’est certainement pertinent dans de nombreuses occasions, mais c’est une paresse que de s’arrêter là. On oublie de se demander : “Et moi, qu’est-ce que je peux faire pour que ça bouge, pour que l’autre bouge ?” On doit dépasser la réponse unique, chercher la complexité et se demander ce qu’on peut faire pour intervenir sur la situation qui nous pose problème. ”
A lire : Les 7 vertus du couple. Une alchimie particulière, éd. Odile Jacob, 21,90 €.
7. “Accepter de ne pas aller bien parfois”
Le conseil du Dr Stéphanie Hahusseau psychiatre et psychothérapeute intégrative
” Accepter de fluctuer, d’avoir des périodes creuses, m’a été essentiel. L’injonction “tu as tout pour être heureuse” nous parasite souvent. Difficile de reconnaître ses souffrances quand d’autres autour de nous sont grièvement malades. Pourtant, la souffrance ne se hiérarchise pas !
On doit accepter de craquer, de ronchonner, de ne pas aller bien parfois et de ne pas se remettre en question en permanence. Les femmes sont particulièrement sujettes à cela. On doit cependant pouvoir accepter de penser à nous, car c’est le meilleur moyen de penser ensuite aux autres. ”
A lire : Un homme, un vrai, éd. Odile Jacob, 21,90 €.
8. “Développer ses compétences”
Le conseil du Dr Yasmine Liénard, médecin psychiatre et thérapeute cognitivo-comportementaliste
” Chercher à être qui on est plutôt que de rêver d’être quelqu’un d’autre, de toujours mieux, plus jeune, plus fort, plus performant, plus admirable, c’est la voie que j’ai prise. Ce n’est pas en cherchant cet autre qu’on trouve l’équilibre, c’est au contraire en lâchant l’affaire qu’on rencontre l’apaisement. Il ne s’agit pas d’accepter son sort et de ne plus bouger, mais de substituer à cette quête narcissique le développement de nos qualités.
Développer nos compétences, c’est travailler ce que nous savons faire, comme danser, chanter, compter. Développer nos qualités, c’est travailler sur notre manière d’être en rapport avec le monde, devenir plus flexible, se relier aux autres. C’est l’assurance d’entrer dans des relations plus faciles, plus nourrissantes, et qui rendent plus heureux. ”
A lire : À la recherche de son vrai soi. Le chemin de la méditation, éd. Odile Jacob, 24,55 €.
L’ouvrage collectif à lire : Les psys se confient. Pour vous aider à trouver l’équilibre intérieur, écrit sous la direction de Christophe André aux éditions Odile Jacob.
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