Xu Hướng 10/2023 # Trouver Quel Métier Est Fait Pour Moi En 2023 # Top 17 Xem Nhiều | Duhocbluesky.edu.vn

Xu Hướng 10/2023 # Trouver Quel Métier Est Fait Pour Moi En 2023 # Top 17 Xem Nhiều

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Mais rassurez-vous : rien n’est figé ! Même si vous passez par des métiers qui ne vous correspondent pas forcément, il existe toujours des solutions, et chacun peut trouver l’emploi fait pour lui.

1. Apprendre à se connaître pour trouver son futur métier2. Les outils pour choisir son orientation3. Réussir sa reconversion professionnelle

1. Apprendre à se connaître pour trouver son futur métier

La première et la plus importante des choses à prendre en compte pour trouver sa voie c’est faire un bilan sur soi-même. Pour trouver un emploi ” sur-mesure “, il est indispensable de se connaître ou d’apprendre à se connaître. Les conseils qui suivent vous donneront des pistes à exploiter.

1.1 Faire le point1.2 Consulter son entourage1.3 La nécessité de s’ouvrir

1.1 Faire le point

Avant même de commencer les recherches, il est nécessaire que vous preniez le temps de vous recentrer sur vous même pour faire le point. Penser à ses envies, ses goûts, ses centres d’intérêt, ses qualités et ses défauts peut déjà donner quelques pistes.

Il est également important de bien définir son projet professionnel. Pour cela, prenez une feuille de papier et répondez aux questions suivantes :

Est-ce que vous souhaitez travailler en intérieur ou en extérieur ?

Plutôt en équipe ou seul ?

Quels horaires s’accordent le mieux avec votre cadre de vie ? (nuit, week-ends, soirs, matins, horaires de bureau…)

Quel statut vous convient le mieux ? (salarié, freelance, intérimaire, chef d’entreprise…)

Quel est le revenu minimum que vous souhaitez ?

Quel degré de responsabilité souhaitez-vous avoir ?

Avez-vous besoin d’un métier qui a du sens, ou un travail alimentaire vous convient ?

Combien de temps voulez-vous et pouvez-vous consacrer à une formation ?

Plutôt manuel, intellectuel, sportif, … ?

Quels sont vos plus grands défauts, et vos plus grandes qualités ?

En répondant à ces questions, des idées de secteur d’activité ou même de professions peuvent se dégager et permettre d’y voir un peu plus clair. Évidemment, il est indispensable de faire ce sondage intérieur en étant honnête à 100 %. Mentir sur ses capacités (en les diminuant ou en les exagérant), sur ses envies ou sur ses traits de personnalité ne fait que fausser les résultats, et vous handicape dans votre recherche.

En revanche, ne pas rester buter sur ses critères et savoir faire des compromis est nécessaire. Par exemple, si vous trouvez un métier qui vous plaît vraiment (horaires, formation, envies, capacités…), mais que vous estimez que les salaires dans cette profession sont trop bas, vous pouvez choisir de tirer un trait sur ce métier et chercher autre chose. Au contraire, vous pouvez revoir vos exigences de rémunération à la baisse s’il y a de bonnes possibilités d’évolution, ou si ce travail a du sens et vous permet de vous épanouir.

Dans la plupart des cas, il faut accepter de faire certaines concessions, ou réfléchir à celles que l’on est capable de faire. Cela ne veut pas dire que le métier idéal n’existe pas, simplement qu’il y aura toujours du bon et du moins bon, et que c’est à chacun de déterminer ce qu’il accepte ou non.

1.2. Consulter son entourage

Il est parfois difficile d’avoir du recul sur soi. Pour apprendre à se connaître, il peut être intéressant de demander à votre entourage la perception qu’il a de vous. Le sondage que l’on fait pour soi fonctionne également avec ses proches. Les questions seront tournées différemment mais les réponses pourront permettre de se remettre en question et d’envisager la question sous un nouvel angle.

Cependant, l’entourage, même proche, ne vous connaîtra jamais aussi bien que vous-même. Son avis est donc intéressant, mais il ne faut pas faire une fixation dessus.

Il est également indispensable de demander conseil à des personnes qui sont qualifiés pour vous aider. Si vous souhaitez devenir webmaster et que vous demandez l’avis de vos parents qui n’y connaissent rien à internet, ils vous répondront probablement que c’est impossible de gagner sa vie de cette façon, tout simplement parce qu’ils n’ont pas les connaissances nécessaires.

1.3 La nécessité de s’ouvrir

En recherche d’emploi ou de formation, il est important de s’ouvrir à un maximum d’options. Soyeux curieux et n’hésitez pas à multiplier les nouvelles expériences (pas forcément professionnelles). Cela permet de se découvrir sous un nouvel angle mais également d’acquérir ou de développer certaines capacités.

Ces expériences peuvent être très diverses : voyage, sport, activité artistique, rencontres de nouvelles personnes, sortie culturelle, etc. Sans pour autant en faire son métier, toutes les expériences vécues influencent vos décisions, goûts et envies.

Chacune d’entre elles, font évoluer votre personne et vous permettent de vous ouvrir à d’autres domaines auxquels vous n’aurait pas forcément pensé au premier abord.

Il existe des tas de manières différentes pour apprendre vous connaître et développer vos capacités. Certaines fonctionnent plus que d’autres en fonction des individus, mais elles vous permettront de trouver votre voie avec plus de facilité et plus rapidement.

2. Les outils pour choisir son orientation

2.1 Pôle Emploi2.2 Les Missions Locales2.3 Les Centres d’Information et d’Orientation (CIO)2.4 Les événements2.5 Internet

Nombreux sont les outils qui peuvent vous aider à trouver un métier, votre voie ou une formation. Ils peuvent se présenter sous plusieurs formes. Il existe des organismes, des plate-formes, des sites internet, des forums, des salons, des documentaires, etc.

En fonction de votre situation, certains seront plus utiles que d’autres, et c’est à chacun de se faire son propre avis sur la question. Bien entendu, ce n’est pas une liste exhaustive, il existe énormément de sources d’informations très diverses mais les principales sont présentes.

2.1 Pôle Emploi

Tout le monde a déjà entendu parler de Pôle Emploi, l’organisme spécialisé dans la recherche d’emploi.

Pôle Emploi est donc un organisme de l’État, son rôle est de vous permettre d’accéder à des services de recherche d’emploi et de vous verser des allocations chômage.

Lorsque l’on s’inscrit en tant que demandeur d’emploi, un rendez-vous avec un conseiller est programmé. Lors de ce rendez-vous, le conseiller fait le point sur votre situation : expériences professionnelles, CV, attentes…

En fonction, de certains critères, des droits aux chômage (allocations) vous sont versés. Le conseiller peut aussi vous présenter des options pour vous aider dans votre projet. Il peut s’agir de postes, de formations, d’événements, d’ateliers…

En effet, Pôle Emploi peut financer un bon nombre de formations, de manière totale ou partielle.

Quoi qu’il en soit, le rôle d’un conseiller Pôle Emploi est de vous aider dans votre recherche d’emploi, dans votre recherche de formation ou de reconversion professionnelle. Il peut vous aiguiller vers les services qui vous accompagneront au mieux dans votre vie professionnelle.

La théorie est belle, mais la réalité est toute autre…

Pôle Emploi est un organisme très mal organisé, les conseillers sont débordés de travail, et n’ont malheureusement pas assez de moyens pour vous aider réellement!

Il est indispensable de préparer soi-même son projet professionnel, votre inscription à Pôle Emploi étant uniquement utile pour 2 choses :

toucher des allocations, pour assurer ses besoins quotidiens le temps de retrouver un emploi,

se faire financer des formations.

2.2 Les Missions Locales

Les Missions Locales sont des organismes qui ont pour mission l’insertion professionnelle des jeunes âgés de 16 à 25 ans en les aidant à créer un parcours professionnel et les insérer au mieux dans la vie active.

Pour cela, les Missions Locales sont en partenariat avec Pôle Emploi, et propose des formations, des ateliers de recherche d’emploi et peut permettre aux jeunes de percevoir des aides financières en fonction de leur situation.

2.3 Les Centres d’Information et d’Orientation (CIO)

Les CIO (Centres d’Information et d’Orientation) sont des structures dédiées à l’orientation. Il est possible d’y consulter de nombreuses ressources, d’avoir accès à des informations sur les métiers et les formations, et de consulter un Conseiller d’Orientation Psychologue (COP).

Au cours d’un rendez-vous avec un COP, le conseiller essaye de comprendre les attentes de la personne, l’aide à construire son projet professionnel et lui explique les démarches à suivre pour arriver à son but.

Lorsque le projet professionnel n’est pas très précis, le conseiller peut faire passer des tests d’orientation ou de personnalité, qui peuvent aider la personne à trouver sa voie. Il interprétera ensuite les résultats afin de donner une liste des domaines ou des métiers qui pourraient lui convenir.

Le conseiller peut présenter des ressources comme des livres, des sites internet, etc. Celles-ci permettent d’obtenir des informations sur les métiers ou les formations susceptibles de convenir à la personne.

2.4 Les événements

Les forums, les salons et les journées portes ouvertes peuvent également être un bon moyen de découvrir des métiers ou des formations quand on ne sait pas quel métier faire.

Ces événements se déroulent souvent sur un ou plusieurs jours, et réunissent des professionnels, des étudiants ou des enseignants dans le but qu’ils puissent fournir des informations sur leur domaine et faire part de leur expérience.

L’avantage de ces manifestations est de vous permettre un contact direct avec des professionnels, d’autres étudiants. Cela peut vous donner des idées de métiers, des informations sur la formation, le rythme, les examens, etc. pour avoir un meilleur aperçu de la réalité.

2.5 Internet

Enfin, Internet est une réelle mine d’or pour faire la chasse aux informations. Bien entendu, il faut savoir s’en servir et faire le tri car il existe également beaucoup de fausses informations. Beaucoup de sites sont néanmoins très compétents et vous renseignent sur les métiers et les formations.

Sur notre site Trouvez un métier, vous avez accès à des descriptions réalistes et détaillées de nombreux métiers. Les fiches métiers comportent trois grandes catégories divisées en plusieurs sous-parties qui vous aideront à savoir quel métier choisir.

La première catégorie concerne l’activité générale d’un professionnel, les tâches qu’il accompli au quotidien et ses conditions de travail. La seconde partie parle des salaires, des débouchés et des possibilités d’évolution de carrière. Enfin, la troisième partie est consacrée à la formation : elle explique l’accès au métier, les différents cursus, les examens, diplômes et formalités nécessaires pour exercer un métier.

Ces fiches sont très détaillées et se basent sur des sources fiables. De plus, nous faisons notre possible pour faire des mises à jour régulières pour maintenir les informations à jour.

Grâce à la section ” Synonymes, métiers associés ” située en début de fiche, si vous n’êtes pas totalement convaincu par le métier dont vous avez consulté la fiche, vous aurez des idées d’autres fiches métiers à consulter.

Vous pouvez également vous rendre sur la liste des métiers par ordre alphabétique pour trouver des idées de métiers qui vous convienne mieux.

Quoi qu’il en soit, si vous avez une idée de domaine ou de métier dans lequel vous souhaitez travailler, Trouver Un Métier vous permettra d’obtenir toutes les informations dont vous aurez besoin.

3. Réussir sa reconversion professionnelle

Un reconversion professionnelle peut être difficile à aborder et à traverser. Chacun à ses propres raisons pour vouloir changer d’orientation professionnelle, et il est important de garder en tête que le monde mais aussi nos envies évoluent, et qu’il est nécessaire de s’adapter au cours de sa vie. Il est donc tout à fait normal de souhaiter changer de profession.

Lorsque l’on souhaite réellement s’orienter vers une nouvelle activité professionnelle, sans pour autant avoir une idée très précise de ce que l’on souhaite, cela peut inquiéter l’entourage. Bien sûr ce n’est pas malveillant mais cela peut-être décourageant, il faut donc faire attention à ne pas trop se laisser impacter dans ses choix et ses décisions. Après tout, ce n’est que passager.

Pour réussir sa reconversion professionnelle, la même introspection (que pour trouver un premier emploi) sera nécessaire et les mêmes outils seront à disposition.

L’avantage pour une personne que se reconvertit, c’est qu’elle a déjà l’expérience du monde du travail, elle se connaît donc professionnellement. Elle peut mieux définir ses envies, ses capacités, mais aussi les points faibles et les défauts qu’elle doit améliorer.

Il est possible d’aborder sa reconversion de deux manières : la préparer en continuant à travailler, ou bien en étant sans emploi. Chacune présente des avantages et des inconvénients. Là encore, chaque individu choisira ce qui lui conviendra le mieux.

Le problème majeur quand il s’agit de changer de métier c’est de retourner se former. Les études peuvent prendre beaucoup de temps et sont donc difficilement compatibles avec un travail à plein temps. Et même lorsque l’on est au chômage, où l’on touche environ 60 % de son précédent salaire, ne pas avoir de revenus suffisants peut être un problème.

Heureusement, il existe des solutions !

3.1 Formations à Distance3.2 Formations en Alternance3.3 Validation des Acquis de l’Expérience

3.1 Formations à Distance

Tout d’abord, pour ceux qui continuent à travailler, mais qui souhaitent changer de voie, il existe de plus en plus de formations à distance. La plate-forme la plus connue dans le domaine reste sans doute le CNED (Centre National d’Enseignement à Distance), mais beaucoup d’autres se développent.

Ces formations sont souvent accessibles financièrement, et certaines peuvent même être remboursées en partie ou intégralement par Pôle Emploi ou lorsqu’il s’agit d’une formation professionnelle, il est possible d’utiliser son CPF (Compte Personnel de Formation). Il est donc intéressant de se renseigner avant de s’inscrire.

Les formations à distance sont utiles pour les personnes qui souhaitent apprendre seules et à leur rythme. La plupart sont d’ailleurs adaptées à un public de travailleurs.

Attention cependant à bien se renseigner sur la formation avant de s’inscrire. Il est impératif de vérifier ce que cette formation peut vous apporter en fonction de vos besoins. Cela peut être une préparation dans le but de passer un concours ou une réelle formation qualifiante avec un diplôme à la clé par exemple.

Pour ceux qui ont déjà quitté leur poste, les formations à distance peuvent également convenir. En revanche, même si certaines d’entre elles offrent la possibilité d’effectuer des stages, ils ne sont pas rémunérés. Si les allocations chômage sont faibles, ce type de formation n’est pas forcément idéal.

3.2 Formations en Alternance

L’avantage des formations en alternance est de toucher un salaire pendant que l’on se forme. Il est possible de les suivre avec un contrat d’apprentissage ou avec un contrat de professionnalisation. Le principe de l’alternance est d’alterner entre temps de formation théorique au sein d’un établissement et temps de formation pratique en entreprise.

Différences entre les contrats d’apprentissage et de professionnalisation :

Il s’adresse à des jeunes entre 16 et 29 ans (dérogations possibles pour les travailleurs handicapés ainsi que pour les créateurs ou repreneurs d’entreprise).

Il permet d’obtenir un diplôme ou un titre à finalité professionnelle enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP).

La durée de la formation doit représenter au moins 400 heures en moyenne par année de formation. Le salaire varie de 27 % du Smic (apprenti de 16 à 17 ans) à 100 % du Smic (apprenti de 26 ans et plus).

Le contrat de professionnalisation :

Il concerne les jeunes âgés de 16 à 25 ans, les demandeurs d’emploi de 26 ans et plus, les bénéficiaires de la prime d’activité, de l’allocation spécifique de solidarité (ASS), l’allocation adulte handicapé (AAH) ou d’un contrat unique d’insertion (CUI).

Il permet d’obtenir une qualification enregistrée au RNCP, une qualification reconnue dans les classifications d’une convention collective nationale de branche, ou une qualification permettant d’accéder à un certificat de qualification professionnelle (CQP).

La formation doit représenter 150 heures par an. Le salaire varie selon l’âge et le niveau de formation du salarié : de 55 % du SMIC pour les moins de 21 ans ayant un niveau inférieur au BAC jusqu’à 100 % du SMIC ou 85 % de la rémunération minimale conventionnelle ordinaire pour les plus de 26 ans.

De nombreuses formations peuvent être suivies en alternance. Que ce soit pour le contrat d’apprentissage ou de professionnalisation, il est possible d’être embauché en CDD ou en CDI.

3.3 Validation des Acquis de l’Expérience

Pour les personnes en reconversion professionnelle, il existe également la VAE : la Validation des Acquis de l’Expérience. C’est un dispositif qui permet d’obtenir une certification (un diplôme, un certificat de qualification professionnelle ou un titre à finalité professionnelle) grâce à son expérience.

Pour en profiter, il faut justifier d’au moins 1 an d’expérience en rapport avec la certification visée. Un dossier est à envoyer à l’organisme certificateur avant de passer un entretien avec un jury.

Il est possible de bénéficier d’un accompagnement pour toutes les étapes du parcours de la VAE : formulation de l’expérience à valider, constitution du dossier et préparation de l’entretien avec le jury. Cet accompagnement n’est pas obligatoire mais recommandé. De plus, il peut être financé par le CPF (Compte Personnel de Formation), l’OPCA (Organisme Paritaire Collecteur Agréé), ou encore par le conseil régional.

La validation des acquis de l’expérience s’avère très utile pour accéder à des postes qui nécessitent des diplômes. C’est le cas dans le domaine des services à la personne ou de la coiffure par exemple. Transformer son expérience en diplôme peut aussi mettre son CV plus en valeur auprès d’un recruteur.

Ce qu’il faut retenir :

→ Prendre le temps de se découvrir, de faire le bilan de sa situation et de construire son projet professionnel étape par étape.

→ Ne pas hésiter à se faire accompagner que ce soit par des proches ou des professionnels.

→ Internet est votre ami, c’est une source d’informations incroyable. Restez néanmoins vigilants et critiques.

→ Une reconversion professionnelle ne signifie pas repartir de zéro. On reste fort des expériences que l’on a vécu.

→ Il est toujours possible de se former et d’apprendre peu importe l’âge et la situation d’un individu.

Comment Trouver Son Moi Véritable ?

Un voyage pas comme les autres….Vous avez eu le déclic ? Des questionnements s’enchaînent en vous ? Vous ressentez le désir d’entrer en communication avec votre être intérieur ? L’appel de la connaissance véritable de SOI se manifeste, très souvent, par votre désir d’apprendre, de découvrir une autre dimension de vous-même.

En fait, vous apprenez à vous laisser guider par « votre Essence première », cette partie lumineuse qui ne demande qu’à se révéler à vous. Elle demande qu’à s’épanouir et, à s’exprimer… Ainsi, nous entrons donc en connexion avec elle et, nous expérimentons des situations qui transforment notre état intérieur provoquant en nous : la joie et un sentiment soudain de liberté.

Rappelez-vous la dernière fois que vous vous êtes dit : j’ai l’intuition que c’est ainsi que je dois agir! C’est ça que je dois faire ! Une petite voix vous disait : suis-ton intuition !

La rencontre avec notre partie lumineuse, puissante et grandiose provoque des sensations mentales et parfois corporelles qui agissent comme une source d’énergie et, fait grandir notre état vibratoire (à ce stade nous entrons dans une dynamique de psycho-énergétique). Pour une prise de conscience de ce nouvel état vibratoire, je vous invite à observer vos résistances, les jeux que votre ego vous impose et, surtout à cultiver véritablement la confiance, la confiance en soi. « La voie la plus sûre pour découvrir la vérité est de ne plus résister à ce qui se présente ». L’observation de nos sentiments, de nos émotions et, la pratique de plus en plus active de la méditation sont des clés efficaces qui vous feront expérimenter la découverte de votre véritable puissance. Vous découvrirez au fur et, à mesure qu’en réalité, que la spiritualité est ni plus ni moins qu’une fonction naturelle et vivante de l’être humain. C’est au travers de l’observation, l’exploration, l’expérience et l’écoute de nos ressentis que nous allons entrer dans le processus même du développement spirituel, la recherche du Moi, du SOI. La conscience et la responsabilité, qui nous incitent à reconnaitre nos forces, faiblesses et, limites; nous forcerons naturellement, avec confiance et détermination à accueillir la résurgence de nos vieilles émotions afin de dire définitivement « NON » à cette impression de vide qui nous fera sortir d’un passage déroutant. Nos pensées, nos corps (et, pourquoi pas nos âmes) vivront l’évolution de nos consciences dans la vérité et la liberté.

Je serai ravie d’y répondre !

Par Mâ KOUMANJI

email : contact@femmesaupluriel.comtél. : 06 05 79 36 62

5 Conseils Pour Trouver Votre Style

Et puis un jour, j’ai compris : notre style évolue avec nous tout au long de notre vie, c’est normal de passer du temps à le chercher ! Je dirais même que c’est plutôt sain, cela suppose que nous changeons au fil de temps, que nous mûrissons et voyons le monde autrement. Nos besoins évoluent constamment et cela nous permet de rester créatives, vous ne trouvez pas ?

Mes 5 conseils pour trouver votre style

Voici ma définition personnelle du style :

Pour tout vous dire, je suis un peu gênée par cette notion d’avoir trouvé son style ou non, comme si le fait de ne pas l’avoir trouvé était un échec en soi. Je ne crois pas qu’avoir un style vestimentaire qui nous définisse soit essentiel, même quand on adore la mode. Non, ce qui est essentiel c’est de se sentir bien dans ses vêtements et d’être en accord avec l’image que nos vêtements renvoient aux autres. Bien sûr, on peut décider de s’affranchir totalement de ce que nos looks renvoient aux gens. Porter uniquement ce que l’on aime, y compris le look gothique à trente ans si cela nous chante… Dans ce cas, je ne peux que vous féliciter car c’est un signe de grande confiance en soi que j’admire réellement !

Pour moi, avoir du style c’est se sentir bien dans ses vêtements et se sentir en harmonie avec l’image de soi que l’on renvoie aux autres. C’est une histoire de confiance en soi, peu importe notre style (un comble !).

hum, je sens que je vous ai perdues… ce qui m’amène à développer le second point : l’histoire que vous avez envie de raconter avec vos vêtements.

Choisir l’histoire que vous avez envie de raconter avec vos vêtements

Vous connaissez le proverbe, on dit souvent que les apparences sont trompeuses. On a surtout la chance de pouvoir raconter toutes les histoires que l’on veut avec nos vêtements. Elégante, sexy, glamour, rockeuse… vous pouvez décidez d’être qui vous voulez avec vos vêtements !

Evidemment, le mieux est de s’habiller selon notre personnalité, l’idée que l’on se fait de soi et celle que l’on a envie de renvoyer à notre entourage. Qu’avez-vous envie de dire de vous à travers vos vêtements ? Rien de spécial ? Que vous êtes une personne joyeuse ? Que vous êtes de nature introvertie ou extravertie ? Que vous aimez la simplicité ? Que vous voulez mettre en avant vos atouts, ce que vous aimez chez vous ?

Tout est possible, libre à vous de vous habiller en fonction de vos envies. Vous pouvez aussi décider d’être toutes ces personnes à la fois un jour après l’autre, il n’y a aucune règle.

Imaginez donc la personne que vous souhaitez être et définissez quels vêtements vous pourriez porter pour être cette personne.

Par exemple, ma priorité est de porter des vêtements confortables et qui s’adaptent à mon quotidien avec deux enfants dont un bébé. Je pourrais donc me contenter de porter des joggings et des baskets MAIS j’ai aussi envie d’être féminine et élégante. Pour moi c’est important de renvoyer cette image soignée aux autres. Je vois cela comme une marque de respect envers moi-même et mon entourage. L’histoire que j’ai envie de raconter aux gens est donc celle-ci : ” il était une fois, une jeune maman active et bien dans sa peau, qui prônait le confort et la simplicité mais qui ne voulait pas renoncer à l’élégance “…

S’habiller de manière simple et élégante nécessite donc pour moi de porter des vêtements basiques mais bien coupés, qui conviennent parfaitement à ma morphologie. Mes tenues sont souvent minimalistes car j’aime le style scandinave et pour moi le côté ” effortless chic ” est la notion même de l’élégance. Ma tenue idéale ? Un jean slim, une chemise en soie et une paire de boots plates. Mais pour vous, la simplicité rimera peut-être avec une paire d’escarpins noirs, une jupe noire, un haut en dentelle…

Votre histoire à vous est peut-être différente. Vous pouvez par exemple vouloir raconter l’histoire d’une femme joyeuse et extravertie, qui aime faire la fête et qui a gardé son âme d’enfant. Vous pourriez donc avoir envie de porter des couleurs vives car les couleurs correspondent à cette définition de la femme joyeuse que vous avez envie d’être… Vous comprenez ?

Mais vous pourriez tout aussi bien être une femme joyeuse et extravertie sans pour autant porter du rose ou des couleurs… Il n’y a aucune règle, nous avons le droit de nous amuser des clichés ou de vouloir jouer avec nos apparences.

Créer votre kit de basiques

Si vous avez déjà parcouru quelques articles sur le blog, vous savez quelle importance j’attache aux vêtements basiques comme le tee-shirt blanc, la chemise, les jeans… Pour moi ce sont des pièces essentielles de mon dressing sans lesquelles je ne peux m’habiller.

Vous pouvez retrouver toute la liste de mes basiques dans cette catégorie, j’espère qu’elle vous inspirera.

Dans tous les cas, vous devez définir la base de votre garde-robe, c’est à dire les vêtements dont vous ne pouvez vous passer au quotidien. Ce kit de base est la clé de votre style vestimentaire. Les basiques que vous portez devraient déjà vous donner une idée du ou des styles de vêtements que vous aimez. Pour moi, les jeans sont indispensables alors que certaines de mes amies ne portent que des jupes ou des robes.

Si ce n’est pas déjà fait, je vous conseille de faire un tri dans votre penderie pour vous aider à y voir plus clair. N’hésitez pas à écrire noir sur blanc la liste des vêtements que vous avez le plus portés dernièrement et écrivez à côté pourquoi. Cela permet de mettre en lumière vos tenues préférées et de voir quel est votre style actuel et pourquoi il vous plaît tant, ou non d’ailleurs.

Vous avez une vague idée de votre style idéal et de l’histoire que vous avez envie de raconter mais est-ce que cette histoire correspond réellement à votre manière de vivre ? Votre style idéal est-il portable au quotidien ou au contraire totalement éloigné de votre mode de vie actuel ?

J’ai tendance à croire que rien n’est interdit mais il faut rester réaliste. Je cours après mes enfants toute la journée, je prends les transports en commun pour aller travailler et je ne sors pas très souvent le soir… Il m’arrive d’avoir les yeux qui brillent devant des robes de soirée ou des tenues très habillées mais j’essaie de garder la tête froide. J’aime l’image que renvoient ces tenues mais elles sont à mille lieux de mon quotidien qui est plutôt ” jean baskets “. J’essaie donc de prendre du recul et d’accorder davantage d’attention aux vêtements qui correspondent à mon mode de vie. J’avoue que cela peut parfois être frustrant de se contenter de rêver devant des pièces magnifiques, mais cela évite les erreurs d’achats, les regrets et le vilain sentiment de culpabilité qui s’ensuit.

Essayez donc toujours d’accorder davantage d’importance aux vêtements qui sont adaptés à votre mode de vie. Si vous avez du mal à définir votre style, c’est une très excellente manière d’aller à l’essentiel. Et vous trouverez toujours des solutions pour booster vos tenues si le besoin ou l’envie se font sentir.

Acheter les bons vêtements

Vous aurez moins de difficultés à définir votre style si d’emblée vous achetez les bons vêtements… C’est à dire ceux qui correspondent à 100% à ce que vous aimez porter, qui s’adaptent à votre mode de vie, à l’histoire que vous voulez raconter. Et pourtant, faire des erreurs d’achats est aussi un bon moyen à long terme de savoir ce que l’on veut ou plutôt ce que l’on ne veut plus ! Ne culpabilisez donc plus si vous regrettez d’avoir acheté cette robe verte que vous n’avez jamais mise (vous n’aimez pas le vert et vous ne portez jamais de robe…. mais elle était jolie). Un jour, vous deviendrez raisonnable et saurez résister à la tentation. Je ne fais quasiment plus d’erreurs d’achats depuis que j’ai investi dans des bons basiques et dans des pièces de qualité que j’aime réellement.

Cela m’a demandé un investissement financier au départ, c’est vrai. Mais il s’avère que j’ai considérablement réduit mes achats mode depuis que je me constitue petit à petit mon dressing idéal. Il m’arrive d’avoir de vrais coups de coeur mais ils sont raisonnés et raisonnables et surtout, mes achats représentent de vrais moments de joie et non plus des ” faux plaisirs “.

Une idée reçue très classique, c’est qu’il faut être riche pour être stylée et bien habillée. La première réflexion qui nous vient est ” c’est facile d’avoir du style quand on a de l’argent “. Parce qu’avec de l’argent, on peut acheter davantage de vêtements et que leur nombre serait LE gage de réussite dans la création de son style. Ou alors les vêtements de marque. Posséder des vêtements chers ou de luxe vous offrirait aussitôt cette élégance que vous recherchez…

On sait bien que le style ou l’élégance ne s’achètent pas. Ce qui compte, c’est de trouver le juste équilibre entre le budget dont vous disposez et le style que vous avez ou aimeriez avoir. De définir si votre style nécessite d’investir dans de beaux vêtements de qualité ou non.

Si vous n’avez aucun problème avec la fast-fashion et que vous estimez qu’avec votre budget, vous ne pouvez vous offrir que des vêtements à petits prix, alors soit. J’ai été jeune, étudiante ou fauchée et je respecte totalement votre position. Mais sachez qu’il y a d’autres alternatives. On peut réussir à s’offrir de belles pièces de qualité avec un budget moindre, en diminuant la quantité de nos achats ou en achetant d’occasion. Se constituer un dressing idéal peut prendre du temps voire même des années mais l’aventure en vaut la chandelle !

Notre style ne nous définit pas pour toute notre vie et heureusement ! On a le droit de le faire évoluer, de l’affirmer… On a le droit de s’amuser, la mode est un formidable terrain de jeu et c’est pour cette raison que je l’aime autant. Qui sait, aujourd’hui je suis plutôt adepte du minimaliste scandinave mais peut-être que dans dix ans je porterai des imprimés à toutes les sauces ? S’il y a bien une chose que la mode m’a appris c’est qu’il ne faut jamais dire jamais…

Alors même si je me sens à l’aise avec mon style actuel, je ne cesse jamais de m’inspirer. Ce n’est pas un effort pour moi puisque j’adore la mode, je peux passer des heures à lire les blogs, regarder des comptes de mode sur Instagram, surfer sur des sites de petits créateurs, remplir des paniers virtuels ou épingler des images sur mon compte Pinterest.

Je connais plein de gens qui font des tableaux d’inspiration en découpant des images dans des magazines par exemple. Je ne pratique pas cette méthode mais il paraît qu’elle est très efficace. En revanche j’ai une vraie fascination pour les inconnu(e)s que je croise dans la rue. Si une silhouette me plaît ou une tenue, je les regarde en détails et je peux passer de longues minutes à décrypter pourquoi l’ensemble me plaît autant. J’essaie toujours de rester discrète car je pense que c’est un peu flippant de constater que quelqu’un vous analyse des pieds à la tête… Mais la rue ou les transports en commun sont vraiment ma plus grande source d’inspiration mode au quotidien, bien plus que Pinterest qui est magnifique à regarder mais dont les images sont parfois éloignées de la réalité.

Ne croyez pas que la mode est futile. N’ayez pas honte de l’aimer.

S’habiller chaque jour et trouver son style ne doit pas être une source de confit avec son moi intérieur.

N’ayez pas peur de regarder autour de vous, de vous inspirer, de rêver… C’est comme cela que vous apprivoiserez la mode et que vous habiller vous semblera naturel et agréable.

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5 Astuces Pour Connaître Votre Moi Intérieur

Leadership et engagement

5 astuces pour connaître votre moi intérieur

En matière de développement personnel, il est essentiel de bien se connaître pour avancer dans la vie.

Voici quelques clés pour y parvenir. 

1. Est-ce qu’on a tous un « moi intérieur » ? 

Voici une question bien difficile à laquelle répondre : qu’est-ce que le « moi intérieur » ?

Rassurez-vous, cela n’a rien à voir avec une philosophie religieuse, mais bien avec le naturel de l’être humain.

Plus précisément, le moi intérieur correspond à l’essence humaine et donc, agit sur la personnalité.

Chacun dispose donc d’un moi intérieur différent. 

Mais pourquoi certains semblent être beaucoup plus conscients de l’existence de ce moi intérieur, que d’autres ?

Tout simplement parce que découvrir et explorer son propre intérieur, cela nécessite un certain travail.

Ce travail, que l’on appelle « introspection », n’est pas un réflexe naturel, ce qui explique que certains aient « totalement trouvé leur moi intérieur », et que d’autres soient dans une « quête permanente ».

On passe d’ailleurs par différentes phases, incluant notamment l’acceptation, le refoulement ou encore, l’amélioration de soi. 

Découvrez la chaîne Youtube de Franck Nicolas – cliquez ici

Saviez-vous que le moi intérieur est aussi ce qui guide vos décisions, vos émotions, vos ambitions ?

Apprendre à le connaitre, et à l’exploiter, est une clé essentielle au bonheur durable. Il est donc important d’être « aligné », ou en phase avec soi-même.

Mais ne pensez pas que tout arrive du jour au lendemain.

En somme, tout le monde possède un moi intérieur, mais tout le monde n’est pas au même niveau de connexion avec ce dernier. 

2. Patience et longueur de temps 

Le moi intérieur est ce que l’on appelle, dans des termes spirituels, une corde vibratoire : elle est une partie du corps et de l’esprit qui ne demande qu’à être développée, pour transformer des émotions en énergie positive.

Il agit comme un guide, une lumière intérieure, grâce à un travail d’observation sur votre ego, son niveau de résistance, vos possibilités de réaction.

C’est un travail qui permet de cultiver la confiance en soi, le lâcher-prise ou encore, l’envie d’avancer.

Vous l’aurez donc compris : c’est un processus qui prend du temps, et qui demande beaucoup de volonté.

L’idée ici est de réussir à délaisser votre personnalité, au profit du déploiement de votre moi intérieur, de votre essence.

Pour cela, vous devez apprendre à maîtriser vos émotions, notamment négatives.

En effet, la personnalité étant une construction sociale, vous avez appris à la rendre prioritaire sur votre moi profond : elle est le miroir de vos relations, ce qui fait que vous êtes acceptés ou non dans un groupe social.

Aller à l’encontre de cela nécessite donc une force de caractère et une capacité à plonger dans l’inconnu, de se mettre à nu, pour laisser s’exprimer un moi que nous ne connaissiez pas jusqu’alors. 

Il faut donc être conscient qu’atteindre ce but ultime du moi intérieur n’est pas un processus mécanique ou automatique : il peut se passer des semaines, des mois, des années, avant de concrétiser ce niveau de satisfaction.

Pour cela, prenez chaque expérience comme une occasion d’aller un peu plus loin dans ce périple intérieur. 

Cependant, la récompense est bien là, au bout du tunnel : celle d’un bonheur durable, libre et libéré.

Malgré tout, cela n’est pas exempt de complexité. 

3. Acceptez la complexité 

Vous n’êtes pas un être doté d’un seul caractère, non : vous êtes un être complexe, doté de plusieurs identités.

La question qui vous anime au quotidien, sera donc de savoir quelle identité domine plus que l’autre, entre votre personnalité et votre moi intérieur.

Car, contrairement à ce que l’on pourrait penser, personnalité et moi intérieur sont deux choses différentes : 

Le moi intérieur est quelque qui préexiste notre naissance, qui fait partie intégrante de nous 

La personnalité est une construction sociale que l’on ajuste en fonction de l’expérience, même si des traits de caractère influencent plus ou moins cette personnalité 

Et cette expérience, comme nous le disions plus haut, est importante dans le développement de votre moi intérieur et dans son affirmation par rapport à votre personnalité.

Il s’agit de trouver un équilibre subtil entre le contrôle de soi, provoqué par la personnalité, et l’existence du moi intérieur, qui a tendance á être plus effacé. 

De plus, vous devez dépasser la complexité de vos luttes intérieures, entre tension, stress, frustration, et volonté d’un idéal de paix.

L’être humain n’est pas rationnel, mais paradoxal : son comportement répond à des codes sociaux, alors que sa nature lui dicte quelque chose de tout autre. 

Voici nos quelques astuces, à mettre en pratique au quotidien. 

Les 5 astuces pour trouver votre être profond 

Que ce soit dans l’optique de (re)trouver la paix intérieure, d’apprendre à vous connaître ou bien pour évacuer le stress quotidien, ces quelques astuces vous aideront à trouver le chemin spirituel parfait :

N’ayez pas peur des expériences et par extension, des échecs : ne voyez plus ce mot comme ayant une connotation négative, mais plutôt comme une invitation au voyage introspectif permanent 

Adoptez une posture ouverte et positive sur le changement : ne pensez pas qu’avec vos prénotions et vos préjugés, mais soyez à l’écoute des autres, et de vous-mêmes 

 Vivez pleinement, sans regret ni peur de l’inconnu

Pratiquez la remise en cause et le questionnement à travers des exercices comme la méditation 

Trouvez ce qui vous rend heureux : avec l’expérience et la pratique, votre chemin prend forme et se concrétise petit à petit

Trouver son moi intérieur, son être profond, c’est donc avant tout de se laisser guider par une autre voix, celle que l’on n’a pas l’habitude d’entendre.

Un exercice auquel on est peu habitué, mais tellement gratifiant.

Alors, prêt à vous investir à 110% ?

8 Solutions De Psys Pour Trouver Son Équilibre Intérieur

Ils sont psychiatres ou psychologues. Ils nous font part de leur expérience dans un ouvrage collectif, Les psys se confient. Pour vous aider à trouver l’équilibre intérieur.

” Parce que nos peurs sont universelles, nous pouvons aider en nous plaçant sur un registre de fraternité humaine “, souligne Christophe André. Il est rare que des thérapeutes livrent avec autant de sincérité leurs chemins existentiels.

1. “Quitter sa posture de jugement”

Le conseil du Dr Christophe André psychiatre et psychothérapeute, hôpital Sainte-Anne, Paris

” Mon équilibre repose sur trois axes principaux.

Le premier : accepter mes fragilités. Elles ne sont ni des anomalies ni des infériorités. J’ai reçu des choses formidables de mes parents, d’autres moins. Ce que je suis aujourd’hui, ce n’est pas leur faute, ce n’est pas la mienne ; j’ai un chemin à parcourir que je considère comme un chantier de restauration.

Le second, c’est le travail ! Ce chantier de ma construction est passionnant mais il demande beaucoup d’énergie. On renonce trop tôt, l’intention semble nous suffire. Pour changer, il faut s’entraîner, comme pour un sport.

Le dernier pilier, c’est la rencontre. Les autres me sont essentiels. À chaque fois que je rencontre quelqu’un, je regarde ce qu’il y a de beau et de fort chez lui et la manière dont je peux m’en inspirer. Pour cela, il faut quitter sa posture de jugement ou d’indifférence. On a tendance à osciller entre l’une et l’autre. On critique vite, cela nous rassure de voir les défauts. On néglige alors l’essentiel, l’ensemble d’une personne. Or elles sont très rares, ces personnes qui n’auraient rien à nous apprendre. On doit regarder les autres avec bienveillance et admiration en se demandant ce qu’ils peuvent nous enseigner. Cela change tout parce que cela rend la rencontre féconde. ”

2. “Ne pas avoir peur de tomber ”

Le conseil du Dr Fatma Bouvet de la Maisonneuve psychiatre, hôpital Sainte-Anne, Paris

” J’ai eu un parcours composé de ruptures. Rien de dramatique, car ces ruptures ont été souvent choisies, comme l’immigration ou le changement de métier. Mais à chaque fois, j’ai dû prendre des risques, surmonter des obstacles puis me relever. Je crois que la clé de mon équilibre tient au fait de ne pas avoir eu peur de tomber. Il y a toujours des leçons à tirer de nos difficultés.

Or dans nos sociétés de la perfection, il est très difficile de reconnaître qu’il peut nous arriver de faillir. Mais vouloir tout maîtriser, c’est épuisant et source de tellement de frustrations. On n’est jamais parfait. Le reconnaître, c’est avancer avec ses propres défauts.

Pour cela, il faut avoir l’audace de demander conseil. Et être très exigeant dans sa quête. Ces conseils ne nous conviennent pas ? On continue à en demander ailleurs. Nous avons besoin les uns des autres pour surmonter nos manques. Cette modestie nous place non pas en position de combat mais de construction de soi avec l’autre. Nous sommes là pour jouer un rôle particulier. Sans avoir peur des autres. ”

A lire : Enfants et parents en souffrance, éd. Odile Jacob, 22,90 €.

3. “Expérimenter et être à l’écoute de soi”

Le conseil de Sophie Cheval, psychologue clinicienne et psychothérapeute

” Identifier ce qui compte vraiment pour soi et le garder toujours à l’esprit permet d’avancer dans sa direction, de nourrir son projet de vie, quel que soit le contexte. C’est un peu comme en bateau : il faut définir son cap et le garder. Si la météo n’est pas bonne, on retrouvera son chemin. Et pour connaître sa direction, il faut expérimenter et être à l’écoute de soi.

A lire : Belle autrement ! En finir avec la tyrannie de l’apparence, éd. Armand Colin, 15 €.

4. “Être conscient de ce qu’on vit”

Le conseil du Dr Nicolas Duchesne psychiatre et psychothérapeute, enseignant, attaché des hôpitaux de Montpellier

” Il faut garder autour de soi une forme de spiritualité. Dans chacun de nos interlocuteurs, il y a une étincelle magique. De l’éprouver m’aide beaucoup. Les difficultés que nous rencontrons sont l’occasion de réaliser que la vie ne se plie pas toujours à nos désirs immédiats, et que nous devons développer par nous-mêmes des chemins de réussite. Nous devons être pleinement conscients de ce qu’on vit. Tout alors est plus “goûteux”.

Pour cela, on doit ralentir, ne pas tout faire en même temps, s’offrir des temps d’arrêt. Trois fois par jour, on peut s’installer confortablement et on se demande quelles émotions, positives ou négatives, on ressent à ce moment-là. On se recentre sur sa respiration. Cela ne dure pas plus de 3 minutes. Mais c’est une manière toute simple d’être plus présent à soi. ”

A lire : L’affirmation de soi par le jeu de rôle en thérapie comportementale et cognitive, éd. Dunod, 24 €.

5. “Reconnaître ses contradictions”

Le conseil du Dr Frédéric Fanget, psychiatre et psychothérapeute, enseignant à l’université Lyon-I

” Me comprendre et comprendre mes contradictions, comme une médaille à deux faces, m’a été essentiel pour ­trouver l’équilibre.

Pour cela, on peut partir d’une situation donnée qui provoque chez nous un petit malaise. On prend le temps de l’analyser objectivement : qu’est-ce que je ressens ? Et on se demande ce que cela permet de comprendre de soi. On doit pouvoir observer les ressources qu’on mobilise et les freins qui sont les nôtres.

C’est une auto-analyse, mais en aucun cas une interprétation ni un jugement. C’est une manière de donner du sens à nos comportements pour trouver des solutions, pas pour se flageller. L’idée est de mieux reconnaître nos ressources puisqu’elles vont de pair avec nos faiblesses. ”

A lire : Je me libère, éd. Odile Jacob, 19,90 €.

6. “Savoir s’interroger, se remettre en cause”

Le conseil du Dr Bernard Geberowicz médecin psychiatre, ancien psychiatre des hôpitaux

” L’équilibre ne peut pas reposer sur une seule clé parce qu’en réalité, c’est une interrogation constante. On doit s’interroger sans cesse sur les interactions que peuvent avoir sur nous nos relations avec les autres. Il s’agit de toujours chercher une autre description aux choses, de ne pas rester sur une seule idée qui expliquerait tout. L’équilibre, c’est être plurifactoriel.

Pour cela, on doit se demander quelles pourraient être les causes qui nous ont amenés à rencontrer une difficulté. On a toujours tendance à se contenter d’une causalité extérieure. En général, cette causalité, ce sont les autres. C’est certainement pertinent dans de nombreuses occasions, mais c’est une paresse que de s’arrêter là. On oublie de se demander : “Et moi, qu’est-ce que je peux faire pour que ça bouge, pour que l’autre bouge ?” On doit dépasser la réponse unique, chercher la complexité et se demander ce qu’on peut faire pour intervenir sur la situation qui nous pose problème. ”

A lire : Les 7 vertus du couple. Une alchimie particulière, éd. Odile Jacob, 21,90 €.

7. “Accepter de ne pas aller bien parfois”

Le conseil du Dr Stéphanie Hahusseau psychiatre et psychothérapeute intégrative

” Accepter de fluctuer, d’avoir des périodes creuses, m’a été essentiel. L’injonction “tu as tout pour être heureuse” nous parasite souvent. Difficile de reconnaître ses souffrances quand d’autres autour de nous sont grièvement malades. Pourtant, la souffrance ne se hiérarchise pas !

On doit accepter de craquer, de ronchonner, de ne pas aller bien parfois et de ne pas se remettre en question en permanence. Les femmes sont particulièrement sujettes à cela. On doit cependant pouvoir accepter de penser à nous, car c’est le meilleur moyen de penser ensuite aux autres. ”

A lire : Un homme, un vrai, éd. Odile Jacob, 21,90 €.

8. “Développer ses compétences”

Le conseil du Dr Yasmine Liénard, médecin psychiatre et thérapeute cognitivo-­comportementaliste

” Chercher à être qui on est plutôt que de rêver d’être quelqu’un d’autre, de toujours mieux, plus jeune, plus fort, plus performant, plus admirable, c’est la voie que j’ai prise. Ce n’est pas en cherchant cet autre qu’on trouve l’équilibre, c’est au contraire en lâchant l’affaire qu’on rencontre l’apaisement. Il ne s’agit pas d’accepter son sort et de ne plus bouger, mais de substituer à cette quête narcissique le développement de nos qualités.

Développer nos compétences, c’est travailler ce que nous savons faire, comme danser, chanter, compter. Développer nos qualités, c’est travailler sur notre manière d’être en rapport avec le monde, devenir plus flexible, se relier aux autres. C’est l’assurance d’entrer dans des relations plus faciles, plus nourrissantes, et qui rendent plus heureux. ”

A lire : À la recherche de son vrai soi. Le chemin de la méditation, éd. Odile Jacob, 24,55 €.

L’ouvrage collectif à lire : Les psys se confient. Pour vous aider à trouver l’équilibre intérieur, écrit sous la direction de Christophe André aux éditions Odile Jacob.

Travail Du Miroir Ou Comment Entrer En Contact Avec Son Moi Intérieur

Le travail du miroir est étrangement confrontant, intimidant indéniablement, un peu embarrassant… mais aussi profondément curatif.

Parmi toutes les pratiques de travail internes à notre disposition au 21e siècle, le travail du miroir est l’une des plus simples et des plus puissantes.

Non, vous n’êtes pas obligé de dépenser de l’argent avec des tonnes d’attirail spirituel ou d’auto-assistance (dieu merci) – tout ce dont vous avez besoin pour faire un travail du miroir est un miroir – c’est tout ! Et presque tout le monde en possède un.

Si vous cherchez un nouvel outil psychologique ou spirituel à ajouter à votre répertoire, ne cherchez pas plus loin que votre miroir de salle de bain.

 

Qu’est-ce que le travail du miroir ?

Le travail du miroir était une méthode développée à l’origine par la professeure inspirée Louise Hay comme moyen d’entrer en contact avec le moi intérieur. L’objectif principal du travail du miroir est de développer l’amour de soi , les soins personnels et une relation plus significative avec les autres. En regardant simplement dans le miroir pendant un certain temps chaque jour et en vous parlant doucement, vous pouvez créer un lien plus compatissant et plus indulgent avec vous-même.

 

Je me sens mal à l’aise devant le miroir – Pourquoi ?

J’ai un challenge pour vous :

Allez vous placez devant le miroir  de votre maison pendant cinq minutes (assis ou debout). Il suffit de vous regarder vous-même et de garder un contact visuel. C’est tout ce que vous avez à faire.

Si vous êtes comme la plupart des gens, vous vous sentirez mal à l’aise. Vous pouvez vous sentir gêné, instable, embarrassé, émotif ou ressentir des sentiments tels que le dégoût de soi et la critique.

Pourquoi cela arrive-t-il ?

Comme Louise Hay écrit dans son livre le travail du miroir :

Le miroir vous renvoie les sentiments que vous ressentez envers vous-même. Cela vous permet de savoir immédiatement où vous résistez et où vous êtes ouvert et fluide. Cela vous indique clairement quelles pensées vous devrez changer si vous voulez avoir une vie joyeuse et épanouissante.

En d’autres termes, devant le miroir, il n’y a pas de cachette. Devant le miroir, nous entrevoyons un aperçu intime (et parfois douloureux) de la relation que nous entretenons avec nous-mêmes.

Le travail du miroir peut nous mettre mal à l’aise au début, car il expose notre critique intérieur à la lumière du jour. Tout à coup, tout ce que nous ressentons à propos de nous-mêmes et dont nous pourrions ne pas être conscients, apparaît à la surface. Et si vous n’avez pas développé une relation de compassion avec vous-même, vous pourriez être enclin à croire toute la méchanceté chuchotée par votre critique intérieur.

 

Travail du miroir et reconnexion avec l’enfant intérieur

 

Une autre raison pour laquelle le travail du miroir peut nous mettre mal à l’aise est qu’il expose les parties vulnérables de notre être intérieur. Plus particulièrement, le travail du miroir peut nous mettre face à face avec l’enfant en nous.

Nous possédons tous un enfant intérieur – c’est l’un des nombreux archétypes (ou formes d’énergie) qui composent nos structures de personnalité.

Lorsque vous regardez dans le miroir, il n’est pas rare de sentir des vagues de tristesse vous envahir. Je sais que lorsque j’ai vécu ce découragement, cela vient de mon enfant intérieur qui plaide pour mon attention.

Mais même si se regarder dans le miroir peut parfois être bouleversant, ces sentiments laissent présager un travail en profondeur. Vous regarder dans le miroir et réconforter votre enfant intérieur peut être une pratique extrêmement curative et une forme de travail intérieur . Plus vous vous sentez émotif, plus la transformation et la purge émotionnelles se produisent.

 

Le miroir fonctionne comme un portail dans votre âme

Comme le dit le vieil adage, les yeux sont les miroirs de l’âme, et le travail du miroir vous donne un accès direct à cette partie la plus profonde de vous. Mais d’abord, le travail intérieur doit arriver.

La connexion avec votre âme ne se produit pas toujours immédiatement lors du travail du miroir – même si cela est possible. En règle générale, vous devrez surmonter vos insécurités et vos ressentiments personnels en pratiquant l’amour de soi avant de pouvoir ressentir et ressentir l’émergence de votre présence intérieure la plus profonde.

Je ne peux pas répondre à cette question pour tout le monde. Mais pour moi, la présence de mon âme apparaît lorsque mon visage se ramollit, mes yeux se réchauffent et deviennent plus compatissants, un léger sourire entre sur mon visage et une forme d’énergie plus légère remplit mon corps. Se sentir tiré vers l’intérieur est aussi un autre signe.

Aussi magique ou mystique que cela puisse paraître, utiliser le travail du miroir comme un portail vers votre âme est en fait assez naturel. Cela n’a rien de fantasmagorique – c’est comme si on retournait chez soi dans la partie la plus vraie, la plus entière et la plus sage de soi.

 

Comment pratiquer le travail du miroir (Guide étape par étape)

 

Il n’existe aucune méthode officielle de travail du miroir – bien que vous puissiez essayer la pratique de 21 jours* développée par Louise Hay dans son livre .

Personnellement, je préfère adapter le travail du miroir à moi-même et à mes propres besoins. Voici quelques principes de base du travail du miroir que vous voudrez peut-être garder à l’esprit si vous souhaitez créer votre propre pratique :

Utilisez des affirmations qui vous semblent authentiques (je l’expliquerai plus en détail ci-dessous)

Consacrez-y au moins cinq minutes chaque jour

Faites un travail du miroir en privé pour ne pas être dérangé

C’est bien de ressentir de l’émotion – laissez-vous sentir ce qui vous arrive

Tenez un journal dans lequel vous enregistrerez toute expérience notable (je l’expliquerai plus en détail ci-dessous)

Cela dit, voici un guide simple, étape par étape, sur le travail du miroir que vous pouvez utiliser et adapter à vos propres besoins :

 

1. Engagez-vous

Le travail du miroir crée les changements les plus profonds lorsqu’il est effectué de manière cohérente sur une longue période. Je recommande de consacrer un minimum de cinq minutes par jour, dix minutes ou plus étant l’idéal.

 

2. Pensez au meilleur moment de la journée

Le travail du miroir est flexible et peut contourner votre emploi du temps. La plupart des gens aiment faire le travail du miroir tôt le matin et tard le soir avant d’aller se coucher. Vous pouvez également effectuer un travail du miroir pendant la journée lorsque vous passez devant des miroirs. S’il n’y a pas de miroirs sur votre lieu de travail, vous pouvez toujours utiliser l’option selfie sur votre téléphone (lorsque vous tournez l’appareil photo vers vous-même). Vous pouvez trouver un endroit privé (dans les toilettes, par exemple) pour faire cet exercice au travail.

 

3. Choisissez ou créez votre propre affirmation

Pourquoi utiliser des affirmations toutes faites ? Vous pourriez réfléchir pour inventer les vôtres. Les affirmations contrent le discours intérieur négatif qui nous traverse la tête – elles aident également à reprogrammer nos esprits. Lorsque nous utilisons des affirmations, nous affirmons quelque chose que nous aimons chez nous ou quelque chose de positif que nous souhaitons nous donner.

Vous voudrez peut-être créer votre propre affirmation spontanément en vous basant sur ce que vous ressentez lorsque vous vous regardez dans le miroir. Par exemple, si vous vous sentez laide à ce moment-là, vous pouvez vous affirmer: «J’ai un cœur et une âme magnifiques» ou tout ce qui vous semble le plus authentique. Si vous vous sentez mal à l’aise en votre propre présence, vous pouvez affirmer : “C’est bien de se sentir mal à l’aise, je m’accepte comme je suis.”

Alternativement, vous pouvez choisir parmi une liste d’affirmations et expérimenter en utilisant une affirmation par jour (ou une par semaine). Voici quelques exemples :

J’apprends à t’aimer

Je suis disposé à prendre soin de toi

Je suis digne d’amour

j’en ai assez

Je suis exactement qui j’ai besoin d’être en ce moment

C’est bien pour moi d’avoir peur

C’est bien pour moi d’être triste

Je peux me sentir mal à l’aise

J’aime combien mon corps est unique

Je suis beau

Je suis entier

J’embrasse mes peurs avec amour

Je suis féroce et fort

J’ai confiance en ma sagesse naturelle

Je suis ouvert et réceptif

je crois en moi

Il y a des milliers d’affirmations – alors c’est juste un petit échantillon.

Note sur les affirmations:

Si vous créez vos propres affirmations, assurez-vous de les formuler de manière positive. De nombreux praticiens qui travaillent avec des affirmations (comme ceux qui étudient la PNL) affirment que l’inconscient ne comprend pas les aspects négatifs et traduira à l’envers toute affirmation exprimée de manière négative. Par exemple, au lieu de dire «je ne suis pas sans valeur, je suis digne», dites : «Je suis digne». Ou au lieu de dire : «Je ne serai pas méchant avec moi-même», dites : “Je me traite avec gentillesse.”

En outre, le but des affirmations n’est pas de donner du sucre à ce que vous ressentez. Si vous ne pouvez vraiment pas vous dire dans le miroir «Je t’aime», alors ne le faites pas ! Le but n’est pas d’être hypocrite, l’objectif est de vous offrir un amour sincère. Si une affirmation telle que «Je t’aime et que je t’accepte» vous semble trop difficile, concentrez-vous sur une affirmation plus modérée, telle que «J’apprends à t’aimer et à t’accepter» ou «Je veux t’aimer et t’accepter davantage».

 

4. Répétez votre affirmation (avec sentiment)

Que ce soit à haute voix ou dans votre tête, répétez votre affirmation au moins dix fois. Louise Hay recommande au moins 100 fois – mais cela peut sembler accablant au début. Certes, plus vous répétez votre affirmation avec sincérité, plus son impact sera profond. Donc, essayez de définir un nombre réaliste et respectez-le. Vous pouvez toujours augmenter le nombre de fois que vous dites votre affirmation en regardant dans le miroir à mesure que vous progressez dans votre pratique.

Lorsque vous dites votre affirmation, il est important de vous regarder directement dans les yeux. Vous pouvez également utiliser votre propre nom car cela envoie un message puissant à votre inconscient. Par exemple, vous voudrez peut-être dire : «J’apprécie ta sollicitude [insérez votre nom ici]», «Je t’aime [insérez votre nom ici]».

 

5. Embrasser les émotions qui surviennent

C’est normal et ok de se sentir contrarié. Si vous ressentez le besoin de pleurer, laissez-vous – vous libérez d’anciennes façons d’être, et c’est un travail puissant ! Vous voudrez peut-être aussi vous faire un câlin, qui est aussi merveilleusement thérapeutique. Il est probable que vous éprouverez des émotions à un moment donné, car la vieille douleur figée en vous, qui s’est accumulée au fil des ans, bouillonne à la surface. Parfois, les émotions ressenties lors du travail en miroir proviennent de l’enfance, en particulier si elles sont intenses. Si tel est le cas, rassurez votre enfant intérieur en le reconnaissant lorsque vous regardez le miroir. Vous voudrez peut-être prononcer des mots tels que «ça va, je te vois, je comprends», «je suis là pour toi», «j’aime ta bravoure [insérer le nom]», etc.

Remarque à propos des hommes effectuant un travail en miroir :

Sentir et exprimer ses émotions sera probablement plus difficile pour les hommes que pour les femmes. Pourquoi ? Les hommes sont conditionnés à percevoir le fait d’être stoïque comme une véritable mesure de la virilité – mais la vérité est que «stoïque» n’est qu’un autre mot pour émotionnellement distancié et refoulé . Il n’y a rien de courageux à éviter les émotions. Si vous êtes un homme, vous aurez besoin de plus de sécurité et de compassion à cette étape du travail. Ayez des affirmations profondes sous la main et la volonté de voir votre ouverture émotionnelle comme une véritable force.

 

6. Enregistrez vos découvertes

Lors de votre travail sur les miroirs, il est important de tenir un journal. Vous n’avez pas besoin d’écrire de longs paragraphes sur vos expériences si cela ne vous convient pas – écrivez simplement une phrase ou deux. Notez ce que vous ressentez (même si cela signifie exprimer à quel point vous vous sentez stupide) et ce qui a été dit. Vous n’avez pas besoin de tenir un journal de travail miroir tous les jours, mais assurez-vous de noter toutes vos expériences marquantes. Toute nouvelle émotion, pensée, découverte ou percée doit être enregistrée. En tenant un journal, vous pourrez suivre votre évolution et vos progrès.

***

Le travail en miroir est d’une simplicité trompeuse, mais extrêmement stimulant. Tant de travail de guérison peut être accompli en se regardant simplement dans le miroir et en exprimant des affirmations pleines d’amour pour soi.

L’un des avantages les plus étonnants du travail du miroir est son impact sur vos relations. En apprenant à mieux vous aimer , la vie devient plus harmonieuse et vos relations avec les autres peuvent s’améliorer considérablement. Il est vrai que l’amour de soi équivaut à l’amour des autres. Mais vous n’avez pas besoin de me croire – essayez le travail du miroir vous-même !

Si vous avez utilisé cet outil fascinant ou si vous êtes un ardent défenseur, partagez avec moi vos expériences. Quelle partie du travail du miroir est la plus difficile pour vous ? Comment surmontez-vous ces difficultés ?

Source : chúng tôi

 

Je vous souhaite tout le bonheur du monde

 

 

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